1. Matin et midi de Monsieur


    Datte: 30/08/2017, Catégories: fhh, couplus, inconnu, caférestau, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fsodo, lavement, glaçon, couple+h, fsoumisah,

    ... caresses qui câlinent mon clitoris en feu. Oh tant pis, je ne vais pas attendre que mon enculeur ait fini ! Je vais me laisser aller à mon propre plaisir, sans retenue, emportée par cette vigoureuse vague que j’adore tant ! Maître doit s’en douter puisqu’il redouble ses attentions. Quelque chose sur mon visage ? Dans ma posture de chienne ? Dans ces moments-là, il sait lire en moi. Les doigts de mon Maître s’activent toujours dans mon intimité, me faisant gravir étape par étape les sept marches qui vont vers la jouissance totale, tandis qu’un piston s’acharne à me râper l’anus ! Ce mélange de douceur par-devant et de feu furieux par derrière font monter en moi cette vague irrésistible ! Je décolle dans un grand cri de jouissance, balayée, emportée par ce raz-de-marée qui déferle en moi ! C’est à peine si j’entends les grognements de satisfaction de mon enculeur qui se déverse en moi, je suis déjà loin, ailleurs, dans un univers de plaisir et de jouissance ! C’est trop bon, trop absolu de jouir ainsi ! Je remercie mes hommes de me donner tant de plaisir, de ravissement, de bonheur, peu importe si j’ai dû être chienne, putasse ou traînée. Tandis qu’épuisée, je reste le cul en buse, comme il y a peu de temps, le rosebud se remet à sa place, me transformant à nouveau en bouteille de ces messieurs. Je me couche alors sur le côté pour prendre un peu de repos mérité ! Plusieurs minutes plus tard, j’émerge de mes brumes. Les deux hommes sont près de moi, ils me regardent en train de ...
    ... me redresser. Maître attend que je me mette debout puis il me fait signe de la suivre. — Euh… oui… pour faire quoi, Maître ?— Il va bientôt être l’heure d’aller manger, je vais donc choisir ce que tu vas mettre. Arrivés dans notre chambre, Maître fouille ma penderie et en sort une robe noire assez vaporeuse au décolleté croisé. Il me la tend en disant : — Celle-ci t’ira très bien. Reste nue en dessous sauf des bas autofixants et chausse des talons de douze centimètres. Je désire avoir à mon bras une délicieuse salope fière d’elle et de son pouvoir de séduction !— Bien, Maître, je ferai de mon mieux pour être cette salope à votre bras. Dois-je forcer le maquillage ?— Non, pas besoin, tu es déjà terriblement désirable ainsi. Un soupçon de maquillage, tout au plus ; remets un peu de noir à tes yeux. Mais embarque un tube de rouge, on ne sait jamais. Pas de collier, on n’en verra que mieux ton décolleté.— Bien, Maître ! J’aime être sa petite soumise quand il me parle comme ça, en protecteur ! — Je te laisse faire. Et je sais que tu feras bien !— Merci de votre confiance, Maître ! Il a un drôle de regard, il s’approche de moi, très près, je suis intriguée. D’une voix grave qui me remue, il murmure alors : — Tu es une délicieuse libertine et aussi mon adorable femme, ce dont je suis le plus fier dans ma vie ! J’ai eu beaucoup de chance de te rencontrer, même si ce fut quand même tardivement…— Ah… euh… Penché sur mon visage, il m’embrasse tendrement, ce qui me dispense de répondre ...
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