1. La dette - 03


    Datte: 09/07/2019, Catégories: fh, fhh, extracon, inconnu, boitenuit, Oral pénétratio, Partouze / Groupe

    ... plaisir que j’avais l’impression de vivre l’un de ces rêves. La jalousie et la colère ne me quittèrent pourtant pas si facilement et je lançai, d’une voix sévère : — Je n’ai jamais parié une nuit de baise avec ma femme : j’avais juste dit une nuit.— Si ça peut te rassurer, ce n’est pas du tout ce que nous avions prévu non plus et si Kathy ne s’était pas montrée si – Marc chercha ses mots sans pour autant interrompre ses coups de bassin – ouverte et volontaire. Nous serions simplement allés au resto puis boire un verre. Je m’apprêtais à répondre lorsque ma douce m’interrompit, la voix brisée par la jouissance : — Détends-toi, mon amour, et profites-en : c’est tout de même toi qui as toujours rêvé de ça, non ? J’aurais très bien pu rentrer et faire comme si de rien n’était. Est-ce que c’est ce que tu aurais voulu ? Je ne pus que répondre par la négative, dépité. — Moi non plus. Je voulais qu’il me baise une dernière fois devant toi ; alors mate et prends ton pied : je n’ai pas l’air d’aimer ça ? Et comme pour illustrer son propos, sa bouche s’empara à nouveau du membre de Pierre. J’étais à présent totalement réveillé, et les brumes qui plongeaient mon esprit dans une douce torpeur depuis mon lever s’étaient estompées. Chaque détail de la scène se révélait dans toute sa vérité, crue, violente, sans fioritures ni cadrage avantageux. Je n’étais plus dans un de mes fantasmes préparés, maîtrisés, dirigés par mes soins, mais devant une réalité que je n’avais pas choisie et dans ...
    ... laquelle j’étais tombé brutalement. L’impression de ne pas être à ma place ne cessait de me hanter. Une irrésistible envie de sortir, vite, m’envahissait les tripes. C’était pourtant ma femme qui se donnait sans retenue sur ce canapé, mais j’avais l’impression de pénétrer l’intimité d’inconnus. Une odeur âpre me parvenait maintenant, un mélange de transpiration et de diverses sécrétions sexuelles ; et si l’argent n’a pas d’odeur, la luxure en a bien une, et j’y goûtais pleinement tant ces trois corps agités en étaient imprégnés. Je ne doutais plus que, comme l’avait suggéré Kathy, ce trio n’en était pas à son coup d’essai devant moi. Le second détail, bien qu’en l’occurrence ce mot soit assez mal choisi, me sauta alors aux yeux et je restai comme hypnotisé par ma découverte ; je dus bien l’admettre : Pierre était monté comme un taureau. Il présentait fièrement à ma bien-aimée un sexe hors normes et étonnant tant par sa longueur que par son épaisseur. Jusque là, j’avais pensé que ce genre d’artillerie n’existait que dans les films. Eh bien, je me trompais ; et ma douce et tendre en tenait un exemplaire entre ses lèvres. Ce format XL ne semblait pas la faire fuir, bien au contraire : elle s’y accrochait avec une avidité non feinte. Le spectacle de son visage d’ange embrassant cette colonne de chair aux veines saillantes était d’une incongruité et d’une obscénité délicieuses. J’étais fasciné. — C’est une sacrée gourmande que tu as là ; ça doit bien faire trois fois qu’elle me suce ce ...
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