1. La dette - 03


    Datte: 09/07/2019, Catégories: fh, fhh, extracon, inconnu, boitenuit, Oral pénétratio, Partouze / Groupe

    ... parvenait jusqu’en haut de l’escalier me confirma que le salon était bien allumé, et au fur et à mesure que je m’approchais des marches, les sons s’éclaircissaient. Bientôt je reconnus enfin le rire de Kathy : la petite bande était rentrée. Effectivement, ma douce n’était pas seule et j’entendis ensuite clairement la voix de Pierre : « Tu es quand même une sacrée gourmande, toi… » Je m’engageai sur la première marche, et au moment ou je posais mon pied, je le regrettai immédiatement. Mes oreilles me jouaient-elles des tours ? J’étais encore dans un engourdissement général, une sorte de rêve éveillé. Je restai immobile, ne sachant plus si je devais descendre ou pas. Des soupirs ; j’entendais bien des soupirs exprimés par la douce voix de Kathy. À présent engagé, je continuai à descendre lentement. Les soupirs s’étaient transformés en longs gémissements étouffés qui ne s’arrêtèrent pas alors que j’atteignis les dernières marches et que le salon s’ouvrait devant moi. — Salut, vieux. Désolé ; j’espère qu’on t’a pas réveillé ? me lança Pierre d’une voix quelque peu déformée. Je restai un instant immobile, incapable de prononcer le moindre mot ou de faire le moindre geste. Devant mon air effaré il ajouta : — Euh… En fait, comme la nuit n’était pas tout à fait terminée… on s’est dit que… enfin Kathy nous a proposé de… Le canapé dans lequel ma belle était sagement lovée la veille avait pris une toute autre dimension. Kathy, qui ne semblait pas le moins du monde dérangée par ma ...
    ... présence, s’y tenait, les reins bien cambrés, la croupe offerte à Marc. Sa jupe et son chemisier avaient disparu, et je la retrouvais telle que je l’avais laissée dans la chambre quelques heures auparavant. Ses seins, pourtant maintenus par les bonnets de latex rouge, ballottaient d’avant en arrière, entraînés par les mouvements violents que les coups de reins de Marc imprimaient à tout son corps. Il la besognait avec force et elle semblait y prendre beaucoup de plaisir. Malgré toutes ces secousses, la bouche de ma belle s’appliquait avec la plus grande attention sur le sexe de Pierre, faisant preuve d’une rare voracité alors que celui-ci la regardait les yeux pleins de reconnaissance. — Bonsoir, mon amour. Elle ne s’était arrêtée que le temps de prononcer ces trois mots, le souffle court. — Eh bien, on ne s’embête pas ici ! lui lançai-je assez froidement.— Je règle tes dettes, mon amour. Sa réponse avait fusé entre deux coups de langue sur le gland massif de Pierre. — Et ça n’a pas l’air de te déplaire… Ce n’est qu’à cet instant que je pris conscience de la bosse qui déformait mon caleçon, avouant malgré moi mon trouble devant ce spectacle. J’étais partagé entre une jalousie dévorante devant la situation qui me rendait amer et une excitation que je n’avais jamais ressentie à ce point. Je ne parvenais pas à détacher mon regard de ce tableau obscène qui, Kathy le savait, hantait mes fantasmes depuis bien longtemps. Je l’avais si souvent imaginée soumise et offerte ainsi pour mon ...
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