1. Alice emerveillée


    Datte: 11/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Alice est une jeune femme, au physique commun, mais à la taille mince, aux jolis petits seins en poire, et aux fesses entretenues par la pratique du sport. Son visage, pas laid, est encadré par une longue chevelure. Après une jeunesse et des études menées avec sérieux et travail, dans le respect des conventions sociales de la petite bourgeoisie française de province, elle avait, à vingt-cinq ans, épousé Eudes, de dix ans plus âgé mais mais aux très confortables revenus. Elle n’avait jamais travaillé. Pendant leurs fiançailles, la belle avait su résister, avec adresse et diplomatie, aux tentatives d’Eudes pour ébrécher sa vertu, consciente que son corps était son plus grand capital, qu’elle comptait bien faire fructifier pour pouvoir mener une vie dégagée de tout souci matériel. Elle fut dépucelée lors d’une nuit de noces fade, sans clairons ni chants de victoire, mais pas trop désagréable néanmoins. Après de rapides préliminaires, lorsqu’elle fut pénétrée par un sexe viril que les agapes avaient rendu moins conquérant, elle avait suivi les conseils d’une amie plus délurée et avait respiré de plus en plus vite, de plus en plus fort, puis poussé quelques cris de souris apeurée, qui satisfirent son époux fatigué pour le reste de la nuit. Quand, au réveil, il voulut réaffirmer sa prise de possession, elle répéta son petit jeu, un peu plus fort et, quand il lui demanda si elle avait joui, elle acquiesça timidement, ce dont il fut fort aise. Les mois suivants, Eudes entreprit de ...
    ... la déniaiser, lui enseignant des pratiques amoureuses très agréables pour lui, mais parfois encombrantes pour la bouche d’Alice et, d’autres fois, un peu douloureuses pour son cul. Tant fit-il que ces obligations conjugales devinrent des devoirs, plus ou moins routiniers, qu’en bonne élève elle accomplissait plutôt bien, mécaniquement, sans trop de plaisir, mais sans trop de dégoût, également. Eudes était satisfait : Alice acceptait ses caprices sexuels, et, convaincu par ses simagrées, il ne se préoccupait plus du plaisir qu’elle prenait, ou pas. Après deux-trois ans de fidélité, Eudes commença à se lasser des amours conjugales. Il conservait un excellent souvenir de ses années d’étudiant, quand ses copains et lui buvaient de concert et se mélangeaient, au dessert, avec quelques étudiantes qu’ils avaient invitées. Il avait également gardé le contact avec une maîtresse, plus âgée, qui lui avait conté les frasques auxquelles elle et son mari se livraient, en compagnie d’autres couples séduits par le libre-échangisme, dans un sauna accueillant et pas trop éloigné de leur ville. Il se mit à y penser, pour remettre un peu d’épices dans sa sexualité conjugale… De plus, s’il voulait réaliser son fantasme, il fallait ne pas trop tarder, tant qu’Alice, de par sa jeunesse, conservait un bon pouvoir d’échange. Habilement (sic), lors d’une soirée-vidéo, il s’arrangea pour présenter un film érotique à Alice et observa les réactions de son épouse. Bien… elle semblait un peu choquée, mais ...
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