1. Alice emerveillée


    Datte: 11/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... c’était normal… Il l’enlaça et s’employa à faire avec elle ce qu’ils voyaient à l’écran. Alice, résignée, lui en donna pour son argent, et lui céda ses trois orifices avec une apparente bonne volonté. Satisfait par son astucieuse (re-sic) diplomatie, Eudes, quelques jours plus tard, lui parla du sauna, en le présentant comme un lieu sympathique, ouvert, dont on lui avait dit le plus grand bien… Alice fit mine de ne pas entendre… Quand il lui en reparla, un mois plus tard, elle lui répondit évasivement, comme s’il lui avait proposé d’étrenner un nouveau restaurant. La troisième fois, sans refuser catégoriquement, elle préféra retarder sa réponse. La quatrième fois, deux mois plus tard, elle céda à son insistance, avec réticences, mais seulement « pour voir », et après lui avoir fait jurer qu’il l’aimait. Une semaine plus tard, tout excité, Eudes lui annonça que, le lendemain soir, il l’emmenait au sauna. Le sauna était, discrètement, à l’écart de l’agglomération. Ils arrivèrent sur le parking en même temps qu’un autre couple, qui les salua poliment et se présenta « Gilles et Fleur, enchantés ». En pénétrant dans le vestiaire, Alice fut surprise par l’absence de cabine pour se déshabiller. Pour revêtir le peignoir « réglementaire », elle se cacha pudiquement derrière Eudes pour échapper au regard de Gilles, robuste quadragénaire au crâne rasé mais au torse velu et un peu bedonnant, qui porta sur elle un regard souriant… « Tiens tiens, belle pouliche… mais comment se ...
    ... comportera-t-elle en face de l’obstacle ? Bof… on verra bien… ». Ils prirent d’abord une douche, Eudes, curieux, regardant tout autour de lui et Alice, pudique, se tournant vers le mur pour cacher, à défaut de ses fesses, qu’elle exposait ainsi aux regards, du moins ses seins, son pubis et surtout son visage, pour dissimuler sa gêne. Ensuite, ils entrèrent dans le sauna sec, où se trouvaient déjà deux autres couples. L’un des hommes était assis sur la banquette supérieure, et sa compagne, à quatre pattes, tenait son sexe dans sa bouche. Pendant ce temps, l’autre homme, assis au même étage, fouillait consciencieusement entre les cuisses de la dame, tel un vétérinaire ensemençant une « patiente », pendant que sa propre compagne le masturbait lentement, distraitement. En découvrant ce spectacle, inattendu et saugrenu, la pudeur et la retenue d’Alice furent choquées, et elle baissa les yeux pour regarder ses pieds et cacher sa gêne. Quand elle osa les relever pour quêter l’aide de son mari, elle vit qu’Eudes avait choisi de participer à la cérémonie et s’enhardissait, quoiqu’avec gêne, à poser sa main sur la cuisse de sa voisine, les yeux fixés sur sa lourde poitrine, bien plus grosse que celle d’Alice. Alice se sentait distante, pas concernée, et se surprit à penser, ironiquement, narquoisement… « C’est ça, le sexe libéré ? » Elle voyait la main de son époux qui poursuivait l’exploration du corps de sa voisine, plongeant un doigt dans son sexe, puis cette femme qui lâchait le sexe de son ...