1. Sous les toits de Paris


    Datte: 30/08/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Sous les toits de Paris Assis à la terrasse d’un café, plongé dans mon journal, je profite des premiers rayons du soleil du mois de Mai. Le printemps, préliminaire à la saison des amours, revêt ses plus beaux atours pour séduire les badauds. Petites robes légères et autres mini-jupes virevoltent devant la devanture de ce bistrot parisien où j’aime m’absorber à ne rien faire. Soudain, levant les yeux de mon quotidien terne et morose, je ne manque pas l’arrivée gracieuse d’une jeune et jolie demoiselle. Gracile, élancée, sa chevelure, d’une teinte noisette, embrasse des épaules lisses et délicates. Quant à ses yeux, on les aurait crus destinés à se fondre dans ce visage innocent. La dégustant du regard, je devine en elle une certaine dualité, caractéristique de la femme enfant ; Une engeance qui dissimule des pouvoirs d’attractions démoniaques sous des airs angéliques. Sa tenue, légère, diaphane, laisse entrevoir la silhouette d’un corps libéré du joug des dentelles, entrave aux sensations estivales. Sans dessous, elle me met sens dessus dessous : Petits seins pommelés, cambrure de déesse, jambes interminables, nul besoin d’en attendre plus pour lui décocher un sourire évocateur. Sa citadelle tombe sans résistance devant mon assaut enjôleur ; la belle m’assène un regard doux et mutin. Je m’approche, m’invite à sa table avec assurance, avant d’entamer une conversation plaisante. Prénommée Manon, elle étudie les lettres modernes à la Sorbonne. Le courant passe et les heures ...
    ... filent. Je la sens tout à coup plus proche, presque intime. Posant sa main sur la mienne, je m’approche pour l’embrasser. Nos lèvres se frôlent, s’apprivoisent. Le miel de ses baisers s’ouvre en ma bouche comme un abricot suave et parfumé. Bientôt nos langues s’entremêlent et s’enroulent dans un ballet buccal. Rassasiée, avide de ne pas en rester là, la naïade du Quai de Seine me fixe du regard et susurre : « je ne porte rien sous ma robe, pas même un string. J’habite à deux pas. Veux-tu venir visiter mon petit intérieur ? Emoustillé, les joues rosies, je sens une chaleur intense me parcourir de la tête au bassin. J’acquiesce timidement. Excités, Nous quittons notre table pour une alcôve estudiantine. Sitôt le seuil de la porte franchi, notre étreinte se durcit, les baisers muent en pelles torrides et voraces. Cette étudiante pourrait prodiguer des cours tant elle manie habilement fougue et sensualité dans l’ébat. Enivré par la chaleur de l’instant, je ne tarde pas à lui retirer sa robe. Le cadeau s’avère digne de l’emballage. Sa peau, hâlée, lisse, dévoile un corps sculptural d’où l’érotisme émane sans retenue. Ses seins, fermes, pointent vers moi comme pour m’inviter à m’en délecter. J’enlace la jeunesse de ses 22 ans entre mes bras vigoureux ; elle s’agrippe à mon cou, tient ma taille prisonnière de ses jambes. J’embrasse sa bouche, son cou puis le creux de ses seins. Ses soupirs chantent une douce mélopée, prémisse de nos futures ondulations corporelles. Je m’attarde sur sa ...
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