Sous les toits de Paris
Datte: 30/08/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... poitrine, suçant ses tétons endurcis d’excitation. Manon soudain se cambre, incline sa tête en arrière pendant que j’entame une lente descente vers son nombril. Je l’allonge alors sur le lit, me dépare de vêtements devenus trop lourds à porter ; brûlant de désir, je la rejoins. Nu à ses côtés, Je commence à caresser son sexe parfaitement épilé. Soyeux à souhait, il décuple mon envie de cunnilingus. Inlassablement, Je lèche, suce, aspire son clitoris qui s’offre à mon appétit. Les tabous cèdent ; j’ose une entrée dans sa petite fente, lui faisant l’amour du bout de la langue. Ma partenaire ne feint pas son plaisir et gémit à en faire trembler les murs. De mon côté, la tension est à son paroxysme. Ma sirène le ressent, se redresse et saisit ma verge en érection pour me masturber à pleines mains. Ces massages intimes témoignent de son expérience en la matière. Elle frictionne ma virilité lentement…..mais sûrement. La mise en bouche ne se fait plus attendre. Glissant une main sous mes attributs, l’intrépide me suce en va-et-vient réguliers ; sans oublier de saliver sur mon gland décalotté. …..Je frémis de satisfaction. La sensualité laisse place, peu à peu, à l’animalité. Dès lors, mes instincts commandent. J’enjoins Manon d’écarter les jambes. Devant moi, cuisses ouvertes, elle mouille son majeur et l’enfourne dans son fruit ...
... défendu. Le manche en main, je la dévore de mon voyeurisme. Face à face, nous échangeons dans un dialogue onaniste. Son visage change, respire la luxure. Je ne peux résister, je me couche sur cette amazone, la pénètre avec frénésie, généreusement, comme pour rendre hommage à ses pulsions. Enchâssés, bouillants, nos corps fusionnent. J’accélère le coït, la sueur macule nos corps abandonnés l’un à l’autre. Dans ses « encore », point un torrent de jouissance. Je me retire mais ne compte pas lui laisser le moindre répit. Ma conquête comprend vite, se met à quatre pattes et m’offre une autre perspective de son intimité. D’ici, la vue est splendide. Ses rideaux intimes écartés, je lape son isthme sur toute sa longueur, avant qu’un organe, plus imposant encore, ne vienne l’honorer en levrette. J’enfonce en ses entrailles mon pénis au garde à vous. Mon bassin danse sur sa croupe, alors que viennent claquer mes bourses sur sa peau de tambour. Mon membre bandant et mouillé coulisse aisément dans son écrin humide. Porté par ses cris et mots crus, je la prends plus sauvagement encore ; elle aime ça ; l’orgasme le lui rend bien. Nous jouissons à l’unisson. La tendresse marche dans les pas de l’extase. Je l’embrasse sur le front, elle sur mon torse. Le sommeil nous enlace. Désormais, j’en suis sûr, Le septième ciel s’illumine sous les toits de Paris.