Christine III : Les brûlures de l'aube (3)
Datte: 13/07/2019,
Catégories:
Hétéro
En sueur, nous reprenons nos esprits. Christine passe par la salle de bains avant moi. A mon retour, elle est allongée dans le lit et joue avec ses sex-toys. Elle fait lentement glisser le premier dans sa vulve tout en suçant le second. Je m’assieds et prend le contrôle du premier. Christine sourit en me voyant déjà au garde à vous et me suce. Je place l’autre gode à côté de ma verge et elle suce alternativement avant de les prendre les deux dans sa bouche. — Ça te plairait ? Christine comprend immédiatement ma question. — Si j’ai une entière confiance dans mes deux partenaires, pourquoi pas. Alors qu’elle reprend une lente mais agréable fellation, je dirige le second gode à son cul. J’attire Christine sur moi, en position 69. J’excite son clitoris en guidant un gode dans son vagin tandis que je pénètre lentement le second dans son anus. Christine est encore bien dilatée de notre ébat précédent et je n’ai aucune peine à l’introduire. Je viens derrière Christine à quatre pattes. Je sors le gode de son cul et y glisse doucement ma bite. L’autre gode est profondément planté dans son vagin. Je commence à aller et venir, je sens le gode sous ma bite. Christine commence à jouer avec et gémit bruyamment. Elle prend l’autre gode, celui qui était dans son anus, l’essuie fortuitement et le suce tout en continuant à se goder. Triplement prise, elle halète très rapidement puis crie son extase alors que son corps se raidit violemment pour se relâcher dans l’instant. Surexcité, ...
... j’arrive à bout à mon tour et jouit dans son cul. Je me retire, enlève le gode et embrasse une Christine, écarlate, haletante et perlée de sueur. Je l’accompagne à la salle de bains et nous échangeons un profond baiser. De retour dans la chambre, nous nous allongeons nus sur le lit et nous endormons. Il est 17h30 lorsque j’émerge. J’embrasse Christine qui se réveille à son tour. Baiser. Elle s’allonge sur mon torse. Pas de sexe, juste de la tendresse. Nous ne devons pas tarder. Elle se lève, se dirige vers la salle de bains. Je lui dis : — Tu es très belle, j’espère que tu en as conscience. — De la tête à la taille, peut-être. En dessous, tu rêves. Elle ne changera jamais. Nous rangeons rapidement l’appartement et partons. Il n’est pas loin de 19h lorsque nous arrivons dans notre ville. Christine me demande si je peux faire un détour et passer chez ses parents. Je me gare devant chez eux. Elle me fait signe de venir, ils sont absents. Je monte l’escalier et entre. Presque rien n’a changé depuis dix ans. La décoration, les meubles, leur disposition. Il y a toujours le canapé sous l’escalier de bois. Christine prend un sac par terre et dit : — Attends, il faut vraiment que j’aille aux toilettes. Je ne me suis douté de rien. Quelques minutes plus tard, Christine sort des toilettes dans la même tenue qu’il y a dix ans : sa jupe plissée noire, son chemisier et le porte-jarretelles. Elle est toute fière de la surprise qu’elle m’a concoctée et rit devant ma mine béate. Elle m’embrasse ...