1. Christine III : Les brûlures de l'aube (3)


    Datte: 13/07/2019, Catégories: Hétéro

    ... thunes… une soirée et une nuit dans un hôtel de luxe… Viagra et compagnie… ce con m’a filé 8’000€ quand on s’est quitté… j’ai tout donné à une association de défense des prostituées. — Encore ? — Un autre soir… j’ai fini avec deux lesbiennes… on a baisé à trois toute la nuit. J’attire ses hanches, écarte son string et la doigte. Elle accélère sa fellation. Je lui dis : — Et ton voisin, quand je t’ai vue devant le Loro Verde ? — Il m’a ramenée… et… et on a baisé… sa femme le dégoute… alors on baise de temps en temps… il m’appelle… il passe… on baise… il se casse. — Tu es vraiment une salope et tu m’excites incroyablement. Christine cesse sa fellation, relève la tête et dit : — Prends-moi… En levrette, je m’enfonce dans son sexe détrempé. Aucune délicatesse. Je la bourre le plus fort, le plus profond et le plus vite que je peux. Christine est aussi excitée que moi : — Défonce-moi ! Défonce-moi ! Ouiiiiiiii ! Ta grosse bite !! Plus fort ! Défonce-moi encore !! Je la pilonne très violemment, lui met deux fessées très appuyées qui la font crier. Je l’attrape par les cheveux : mjamxxhy — Sale pute ! Tu étais encore vierge et tu voulais déjà te faire enculer ! — Oh ! Mon Dieu ! Oui ! Je voulais que tu me prennes ! Je ...
    ... voulais te sentir en moi ! Peu importait l’orifice !! — J’aurais dû insister !? — Oui ! Ouiiii !!! Tu aurais dû m’enculer ! Nouvelle fessée, nouveau cri avant deux orgasmes du bout de l’effort. Simultanés, puissants et libérateurs. Nous nous effondrons sur le lit, à bout de souffle. Christine retire son string. On dirait qu’il est passé sous l’eau tellement il est mouillé. Elle retourne prendre une douche et vient s’habiller à la vitesse grand V. String et soutien-gorge blancs, robe bleu pétrole, bas couleur chair, bottes à talons hauts. Elle est sublime. Elle se maquille rapidement et met son manteau. Je lui dis : — Si tu veux te faire déposer chez moi en rentrant, ma porte t’est ouverte. Ma proposition semble la surprendre. En bien. Elle sourit en hochant la tête : — On avait dit qu’une nuit, mais j’y penserai. Elle passe dans la chambre, prends un petit sac et nous partons. En chemin, elle précise : — Tout ce que je t’ai dit est rigoureusement vrai. J’aimerais que tu gardes ça pour toi. — Même pour la sodomie ? — Oui, même pour ça. Je m’en suis voulue de ne pas avoir poussé en arrière mais je t’en ai également voulu de ne pas avoir insisté et de ne pas avoir poussé toi aussi. Je la dépose chez son amie juste avant 21h. 
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