Une histoire folle (6)
Datte: 13/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... fit son apparition et disparut presque aussitôt. Des cris s’echappaient de ma gorge, je chavirais totalement... Je fus prise de convulsions ; mes yeux roulaient, mon corps ne m’appartenait plus, et ma tête se vidait. Je finis par exploser sous les doigts experts de mon père en de puissants jets de cyprine qui arrosèrent le lit dans un festival de cris, de tremblements et de larmes. Je jouissais toujours très intensément depuis que je faisais l’amour avec mon père, mais il y avait toujours quelque chose de plus à ce moment précis. Après avoir repris mes esprits au bout de quelques instants, je sus alors qu’aucun homme au monde ne serait aimé comme je l’aime lui. Il vint sur moi, me cajolant, m’embrassant, et sa queue me pénètra sans la moindre difficulté. Elle était chaude, épaisse ; elle me remplissait si bien que c’était un vrai bonheur de l’avoir en moi. Mes cuisses entouraient sa taille et mes mains lui caressaient le torse. Il fit de doux va-et-vient, et malgré mes orgasmes, je ressentais un vrai plaisir, surtout lorsqu’il cognait au fond de moi. Nous soufflions de concert, nous communiquions juste avec nos regards ; j’étais la femme la plus heureuse du monde. Il me prit dans ses bras et nous fit tourner ; je me retrouvai alors empalée sur lui. Je me redressai pour mieux profiter de la pénétration et commençai à mouvoir mon bassin. Ses mains effleuraient mes seins, mon torse. Je n’avais pas envie d’être une salope : ce soir, j’avais besoin d’amour, de tendresse, de ...
... contact, de complicité, de sensualité, et il correspondait à chacun de ces critères. Je posai mes mains sur son torse et, lui souriant tendrement, je commençai de lents va-et-vient. Nos mains se joignirent. Sa queue me perforait avec délice. Je me penchai sur lui afin de l’embrasser ; il profita de ce moment pour donner de puissants coups de reins qui me firent chavirer, et de doux couinements se firent entendre de ma part. Il me prit dans ses bras tout en maintenant la cadence de ses coups. Après une longue chevauchée fantastique, il me prit par les hanches ; je quittai alors son sexe et me mis à quatre pattes sur le lit. Il se plaça derrière moi, me saisit les fesses et m’enfila sans attendre. Il se pencha vers moi pour me caresser doucement les seins. Il les prenait, les pétrissait ; c’était génial. Puis ma tête se tourna, alla à la rencontre de la sienne et nous échangeâmes alors de longs et tendres hot-kisses en nous regardant dans les yeux. Ses coups de reins se firent plus forts ; j’avais l’impression de me faire prendre comme une chienne en chaleur. Une de ses mains me lâcha pour aller me claquer les fesses. Ça ne me fit pas mal : bien au contraire, cela m’excita davantage. Il commença à devenir un peu plus sauvage. — Tu aimes ça, mon amour, hein ? — Oui, mon petit papa chéri, lui répondis je, haletante. — Répète ! — J’aime ça quand tu me prends ainsi et que tu me fesses, mon papa adoré. — Encore ! ordonna-t-il. — J’adore quand tu me prends et que tu me donnes la fessée, ...