Une histoire folle (6)
Datte: 13/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... mon amour ! hurlai-je. Il continua ainsi plusieurs fois pendant qu’il me prenait en levrette. Tout à coup, je sentis sa queue gonfler et vibrer en moi. Il se crispa, et je crois qu’il voulut se retirer ; mais j’avais attrapé une de ses fesses musclées pour l’inviter à rester en moi et goûter au plaisir de finir notre union, ce qui ne se fit pas attendre car il se mit a râler, son visage se crispa par le plaisir et je sentis une incroyable chaleur se répandre en moi. On aurait dit qu’un puissant volcan était entré en éruption, me remplissant de sa lave gluante. Heureusement que je prenais la pillule, parce qu’il m’aurait certainement mise enceinte avec tout ce qui se déversait en moi. Je le sentis me quitter et il s’allongea sur le lit, complètement épuisé, mais son visage rayonnait de bonheur, tout comme le mien. Comme à mon habitude, je pris sa queue et la nettoyai avec une infinie délicatesse avec ma langue, prenant toute trace de fluide amoureux, qu’il provienne de son corps ou du mien. Une fois parfaitement nettoyée et après que je me sois encore une fois régalée, je vins m’allonger à ses côtés. Son sperme coulait de ma chatte ouverte et gluante ; alors je recueillis le jus avec deux de mes doigts et je les suçai délicatement. Je partis aux toilettes. Lorsque je revins dans la chambre, je vis qu’il était encore en forme. Nous fîmes l’amour presque toute la nuit, et ce n’est que très tard dans la nuit – ou très tôt le matin – que nous avons sombré dans un sommeil ...
... réparateur. La semaine d’absence de Vanessa passa, mais elle fut toujours au courant de tout ce que je faisais avec mon père, jusque dans les moindres détails. Une fois, nous nous sommes masturbées au téléphone puis nous nous sommes vues afin de continuer nos ébats. Mais depuis quelques jours, après qu’il ait reçu un coup de fil, je trouvai mon père de plus en plus tendu. Il ne voulait pas me dire ce qui le tracassait, mais je voyais que quelque chose n’allait pas. J’avais beau interroger Vanessa également, mais elle ne se montrait que très évasive à ce sujet. Le surlendemain soir, elle passa à la maison. Mon père l’accueillit et nous l’avons embrassée pour lui signifier à quel point son absence avait été longue et difficile ; ce qu’elle nous rendit, évidemment. — Ma puce, est-ce que tu peux nous laisser un petit instant s’il te plaît ? me demanda-t-il. — Oui, je vais à la cuisine pour nous préparer quelque chose. J’allai à la cuisine, pris deux ou trois jus de fruits, une bouteille de vin, trois verres et les mis sur un plateau tout en m’interrogeant. Ce n’était pas dans les habitudes de mon père de m’éloigner comme ça, mais bon... Je venais de prendre le plateau pour les rejoindre quand je vis Vanessa en pleurs et mon père qui s’enlaçaient et s’embrassaient tendrement. Lorsqu’elle m’a vue, elle a fonçé à ma rencontre en me repoussant vers la cuisine, puis me prit le plateau des mains pour le poser sur la table. — Ma chérie, tu ne devineras jamais ! me dit-elle, en larmes. — Quoi ? ...