1. Antoine et Cécile


    Datte: 14/07/2019, Catégories: fh, jeunes, danser, telnet, amour, pénétratio, amourcach, internet,

    ... sinon.— On peut peut-être remédier à ça, pour que tu n’aies plus besoin de travailler le samedi. Parce que je risque de te demander souvent de sortir avec moi. Je veux dire, de travailler pour moi, tu me comprends.— Tu veux me faire quitter mon boulot ?— D’une certaine façon, oui. Si je peux t’offrir mieux, pourquoi continuer à faire ça ?— Peut-être que ça me plaît.— Peut-être. Mais j’ai eu le sentiment que tu aimais ce qu’on avait fait samedi aussi. Peut-être que tu pourrais travailler pour moi plus régulièrement, pour te permettre de faire ton autre travail seulement quand tu en as vraiment envie…— Tu me proposes quoi exactement ? D’être ton escorte girl officielle ? Antoine m’a expliqué qu’il souhaitait surtout avoir de la compagnie, car il se sentait un peu seul. Il n’a pas voulu faire de grandes écoles comme ses amis de son milieu comme il dit, et les gens de l’université ne s’intéressent pas beaucoup aux gens comme lui, alors il se retrouve seul. Du coup, il voudrait me payer pour passer du temps avec lui, pas seulement le samedi soir, mais aussi en mangeant à la cafétéria ensemble, en sortant avec ses amis, en allant faire du sport, etc. J’ai d’abord pensé que c’était vraiment pathétique, puis je me suis dit qu’il n’y avait pas de sot métier et que celui qu’on me proposait s’inscrivait d’une certaine manière dans le social. Malgré tout, je ne sais pas pourquoi j’ai accepté. Peut-être que c’était parce qu’il était vraiment séduisant et que je me sentais flattée qu’il ...
    ... s’intéresse à une fille comme moi. Qui sait ! Dans les semaines suivantes, j’ai arrêté mon travail en ligne. Je voyais Antoine presque tous les samedis soirs, le mercredi midi et à d’autres moments de la semaine, ce qui remplissait amplement mon portefeuille. Petit à petit, nous sommes réellement devenus amis. Nous avions une profonde sympathie l’un pour l’autre et la franchise que nous avons installée entre nous dès le départ nous permettait de tout nous dire, sans qu’il n’y ait jamais, ou presque, de sous-entendus. C’est ainsi qu’il me disait souvent qu’il me trouvait très attirante et que si je ne travaillais pas pour lui, il m’aurait déjà draguée depuis longtemps. Sur quoi je lui répondais crûment que j’avais toujours rêvé de me faire baiser par mon patron. Lorsqu’il était à jeun, il répondait par un sourire gêné, mais dès qu’il avait un peu trop bu, il se fâchait. Un soir, chez des amis, alors qu’on avait beaucoup bu et suite à de nombreuses plaisanteries de ses amis qui étaient persuadés qu’on sortait ensemble, on a décidé de jouer le jeu. On leur a avoué qu’on était un couple, on s’est embrassés passionnément, puis on est partis sur la piste de danse. Alcool aidant, je me frottais langoureusement contre Antoine alors qu’il laissait ses mains se balader sur mon corps. C’était la première fois qu’on se touchait ainsi. Très vite, Antoine a eu une érection qu’il n’a pu me cacher. — Patron, il me semble que vous avez quelque chose dans votre pantalon. Est-ce que je peux vous ...
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