La couturière (1)
Datte: 14/07/2019,
Catégories:
Divers,
LA COUTURIERE Avec ma première paye, je décidais de m’acheter quelques vêtements, chemises, pulls et bien-sûr des pantalons. J’allais donc en fin de semaine dans une grande surface et en revenais lesté de plusieurs sacs pleins et surtout délesté de plusieurs centaines de francs. En arrivant, je déballais le tout pour montrer mes achats à ma mère qui surprise me dit que j’avais eu mon goût, mais en voyants les deux pantalons que j’avais acheté, elle me demanda si j’avais pensé aux ourlets, étonné je lui dis « mais ils sont à ma taille » elle éclata de rire et me dit « peut-être en taille mais je pense qu’ils vont être trop logs. Je filais dans ma chambre pour essayer mes affaires et je m’aperçu très vite qu’elle avait raison, les pantalons étaient trop longs, je descendis déçu et lui dit « comment est-ce que je vais faire, ils sont bien trop longs et je ne sais pas qui aller voir ». Ma mère me dit que notre voisine d’en face, Sylvia, était couturière à domicile et qu’elle ne refuserait certainement pas de faire le nécessaire moyennant un prix modique. Toutes les voisines me connaissaient depuis mon plus jeune âge mais je ne connaissais aucune de leurs professions. Ma mère téléphona à Sylvia qui lui dit qu’il n’y avait pas de problème, que je n’avais qu’à passer le lendemain dans la journée et qu’elle verrait ce qu’elle pourrait faire. Le lendemain matin alors que - ma mère partait pour le week-end voir une de ses sœurs et me rappela que je devais aller chez Sylvia pour mes ...
... pantalons. J’attendis 10h et j’allais sonner en face avec mes pantalons sur le bras. Sylvia m’accueillit très gentiment en me disant que son mari était partit travaillé (il était ramoneur) et me proposa un café que j’acceptais volontiers, Alors qu’elle allait remplir la cafetière avec de l’eau, je vis qu’elle portait une blouse en nylon de couleur bleu ciel et qu’elle était pieds nus. Historie de discuter et d’être poli, je lui demandais si elle n’avait pas froid avec ses pieds nus sur le carrelage, elle sourit et me dit « oh que non, d’abord parce que je suis habituée et comme tu peux le constater, il ne fait pas froid dans la maison, de plus j’aime bien être à l’aise et c’est pour ça que je porte une blouse qui ne me tient pas trop chaud ». Pendant que nous buvions notre café, je l’observais discrètement, je savais qu’elle avait 55 ans et je la trouvais plutôt pas mal à regarder, elle était plutôt petite car elle m’arrivait à peine à l’épaule et elle était un peu replète ce que j’aimais chez une femme, de toutes manières, j’aimais toutes les femmes quelque soit leur physique car mon éducation sexuelle avait été faite dans ce sens depuis quelques années et ce sont les femmes mures qui m’ont toujours le plus attiré. Après avoir bu notre café, Sylvia ce leva, et posa devant moi un petit tabouret en me disant « bon allez, tu enfiles déjà le premier pantalon et tu montes la dessus pour que je marque l’ourlet. Et là un grand moment de solitude m’envahit, je n’avais pas pensé à ça et ...