1. La couturière (1)


    Datte: 14/07/2019, Catégories: Divers,

    ... j’étais sorti de chez moi comme d’habitude, à savoir un pantalon, un sweat et des mocassins, et rien d’autre, surtout pas de slip que je ne portais que pour aller bosser. Je lui demandais s’il était indispensable d’avoir le pantalon sur moi et si elle ne pouvait pas simplement mesurer par rapport à celui que j’avais sur moi. Elle éclata de rire « bien sur que non grand nigaud, je ne pourrai faire du bon travail qu’en marquant l’ourlet avec des épingles alors que tu portes le pantalon » et elle rajouta « allez ouste, enfile ce pantalon et dépêche-toi un peu ». Je ne savais plus où me mettre, je lui demandais où je pouvais me changer, elle me toisa et dit « ben voilà autre chose, je te rappel que je te connais depuis que tu es tout petit, ça fait donc 18 ans maintenant, que je suis marié et que j’ai un fils donc tu ne sera pas le premier que je verrais en slip ». Je lui dis que ça me gênait et lui demandais où je pouvais me changer, en haussant les épaules elle dit « tu n’as qu’à aller dans la petite chambre qui est derrière toi ». Je partis dans la chambre et je me changeais rapidement puis revenant dans la pièce principale, je montais sur le petit tabouret et restait sans bouger. Sylvia s’approcha avec une boîte d’épingles et s’accroupit devant moi, et afin de maintenir son équilibre écarta largement les cuisses, et là j’ai senti que tout basculait, car j’avais une vue plongeante sur le décolleté que je n’avais pas remarqué tout à l’heure mais de plus sa blouse qui ...
    ... n’était pas fermée jusqu’en bas et qui était remontée haut sur ses cuisses quand elle s’était accroupît me permettait d’avoir une vue superbe sur cette fourche grande ouverte. Bien sur, je me mis à bander immédiatement et le pantalon que j’avais acheté étant en tergal, mon érection était on ne peut plus visible, comme Sylvia était occupée à planté ses épingles pour marquer l’ourlet, je me dis que ça allait peut-être passer, mais je n’arrivais pas à détacher mon regard de sa vallée mammaire ni de la fourche de ses cuisses et mon érection ne faisait que s’accroître. Evidemment Sylvia releva la tête et me vit en train de la mater, elle me dit « ça va oui, la vue te plaît, regarde devant toi et ne bouge pas », puis elle continua son travail, au bout de quelques minutes elle se releva et bien sur vit dans quel état j’étais, elle me dit simplement « ne bouge pas, je ne veux pas que tu te piques avec les épingles », puis elle posa la boîte d’épingles sur la table basse et s’accroupissant à nouveau me dit en me tapotant le pied gauche « lève le pied » comme je ne voulais pas courir le risque qu’elle se fâche je fis ce qu’elle me dit en me demandant pourquoi, je compris vite, elle m’ôta mon mocassin puis tapotant l’autre elle dit « à l’autre » puis enleva le second. Alors que je me demandais ce qu’elle voulait faire elle me dit « c’est marrant tu me demandes si je n’ai pas froid pieds nus et toi tu te balades pieds nus aussi » puis se relevant elle attrapa le bouton de la ceinture de mon ...