Ne compte pas sur moi
Datte: 30/08/2017,
Catégories:
fh,
fhhh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
Partouze / Groupe
totalsexe,
extraconj,
... regagnant notre table. — Tu n’as pas soif ? a demandé mon époux.— J’allais te le dire.— Un whisky, chiche ?— Chiche. J’avais encore besoin d’un remontant je le sentais. Il a été commander nos boissons au bar et j’en ai profité pour me rendre aux toilettes. J’avais besoin de me rafraîchir. À mon retour et à ma grande surprise, il y avait un homme installé à notre table en conversation avec mon mari. À mon arrivée, très courtoisement, il s’est levé pour me saluer et s’excuser. Toutes les tables étaient complètement occupées et seule la nôtre… Il avait obtenu l’autorisation de mon mari, mais si cela me gênait… Il devait avoir la mi-trentaine, grand, brun, et pas mal du tout. Dans l’état d’excitation où j’étais, la présence d’un mâle n’était pas pour me déplaire. Il s’appelait Alain, sa femme et lui fréquentaient le milieu libertin depuis six ans déjà. Pour mettre fin à toute équivoque, j’ai précisé que nous étions là pour voir comment ça se passe ! À ma grande surprise, il a applaudi : c’était une sage précaution. Il avait toujours recommandé à de jeunes couples de procéder ainsi. Pour certains, ce mode de vie renforçait les liens, mais pour d’autres c’était l’éclatement de leur union. Il nous encourageait à agir prudemment. Nous avons continué à deviser légèrement un bout de temps. L’ambiance dans la salle de danse devenait de plus en plus torride. Une femme, la cinquantaine, se faisait lécher par une jeune blonde et manifestait son plaisir bruyamment. On voyait le sexe rigide ...
... d’un homme coulisser profondément dans la gorge d’une coquine. Mon mari a demandé : — Et vous êtes venu seul ce soir ? Il a rigolé. — Non, mais ma femme est à l’étage, sûrement bien occupée !— Moi, je préfère danser et voir les couples parader avant des jeux plus chauds. Il s’est tourné vers mon chéri : — D’ailleurs si vous le permettez, j’aimerais bien inviter à danser votre femme.— Pour ma part, je n’y vois pas d’inconvénient , a répondu mon mari. Pourquoi ne pas me dégourdir les jambes. — Avec plaisir, ai-je répondu. Mais en réalité je me méfiais grandement de lui. Pour sûr, il allait vouloir abuser de la situation. Je pense qu’il ne se jouait dans ce club (et pour cause) pratiquement que des slows. Et mon partenaire s’est révélé être un excellent cavalier. Il m’a prise fermement dans ses bras, mais s’est montré dans un premier temps très respectueux. Certes, je sentais mes seins légèrement écrasés contre sa poitrine musclée, mais en même temps mes tétons s’électrisaient. Il aurait bien voulu que je me laisse aller contre son ventre. Mais je résistais. Au détour d’un pas de danse, je ressentis l’état de sa virilité. Mais je faisais en sorte de le tenir à distance. Près de nous, une femme plus très jeune, les seins nus se faisait téter goulûment par son partenaire sans cesser de danser. Deux autres quasiment nues s’embrassaient passionnément. Une autre évoluait prise en sandwich entre deux hommes. De me trouver entre les bras de ce quasi-inconnu dans ce lieu de débauche et ...