Visite inattendue
Datte: 30/08/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
magasin,
amour,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
pénétratio,
... dégrafe sa ceinture, sort sa queue, fléchit les genoux et s’enfonce d’un seul coup dans le con gluant. Elle écarte les pieds autant que le lui permet la culotte toujours coincée au milieu des cuisses. — Oh… ouiii ! lâche-t-elle dans un long gémissement.— Eh bien, Nicole, ma bite est entrée d’un seul coup tellement votre fente est détrempée. Il la baise, lentement, dégustant la sensation de la vulve qui épouse délicieusement les formes de son chibre. — Ça fait du bien ? Elle gémit continuellement, se sent remplie, emportée par une excitation qui la rend folle de plaisir. — Nicole, ça fait du bien, une bonne bite au fond du con ?— Oui… mais… cessez de me poser des questions avec vos mots dégoûtants, vous êtes… Ohhh !— Dégoûtant, moi ? Allons ma belle, vous adorez ça, être traitée comme une…— Une… une quoi ? parvient-elle à articuler difficilement.— Comme une salope : c’est ce que tu es en train de devenir, une salope qui a besoin de sexe !— Oh… Ouiii ! Mais continuez de me vouvoyer, c’est plus…— Plus excitant, pervers peut-être. C’est ça ? Elle ne répond pas. Difficilement elle tord le cou, lui tend ses lèvres. Il colle sa bouche à celle de la femme ; les langues se touchent, s’enroulent. Lui aussi est terriblement excité. Le rythme de ses coups de reins accélère ; il empoigne les seins, s’en met plein les mains, fait rouler les pointes entre ses doigts. Un bruit de clapotis envahit la pièce. — J’adore vos gros seins, ils me rendent fou !— Oh, j’en ai honte… Ils sont trop ...
... gros, et ils pendent.— Oui, ils ballottent, belle salope. C’est encore plus excitant, vos grosses mamelles qui bougent à chaque fois que je m’enfonce dans votre con ; j’aime jouer avec elles. Horrifiée par tant de luxure, par la perversité des mots sales qu’il murmure à son oreille, mais terriblement excitée, elle enroule encore sa langue avec celle de l’homme. Posant les mains sous les deux globes, il les fait sauter dans ses paumes. — Nicole, vous dégoulinez, cochonne ; votre jus coule sur mes couilles !— Ohhh, c’est dégoûtant…— Oui, c’est sale, dégoûtant : c’est ça qui vous plaît, quand c’est sale… Salope !— Ouiii ! Elle sent le pubis de l’homme claquer contre son cul, plus vite, plus fort. Il la retourne, la recolle contre la paroi, l’embrasse à pleine bouche. Saisissant les hanches, il présente sa bite à la fente ; le gland connaît le chemin à travers la brousse dense de son pubis. Elle baisse le regard, regarde la queue qui se fraie un passage au contact des lèvres velues. Le spectacle salace de la bite qui ouvre et s’engloutit dans sa fente est fascinant ; elle contemple la queue qui disparaît à moitié dans sa touffe. — Dites-moi encore des mots… ces mots…— Vous aimez avoir une bonne bite dans votre trou de pute, Nicole ? Une pute qui aime montrer son corps, ses formes pulpeuses, ses gros nichons, ses larges fesses !— Ouiii !— Il est bon, votre trou, il moule bien ma queue. Il faudra que j’essaie votre cul, que je m’y enfonce profond.— …— Vous aimeriez que je vous encule ? ...