Visite inattendue
Datte: 30/08/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
magasin,
amour,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
pénétratio,
... Que j’enfonce mon chibre dans le trou que vous m’avez laissé lécher, petite pute ?— …— Salope, ta moule dégouline, j’en ai plein les couilles ! Alors les prémices de la jouissance montent au creux de ses reins ; elle se cambre, lance son bas-ventre à la rencontre de la queue qui la perfore, qui la baise ! La respiration bloquée, la bouche grande ouverte, les muscles de son corps se raidissent. Un gémissement rauque monte du plus profond de sa gorge : elle jouit, la bite enfouie profondément en elle. Ravagée par l’orgasme, elle émet un jet de cyprine qui éclabousse les couilles de l’homme. À son tour il se lâche, sort sa queue du con gluant et éjacule sur la chatte de la femme, engluant encore plus les poils, en criant « Salope ! » Elle pose son visage dans le cou de l’homme, les bras accrochés à son épaule, puis elle fait une chose inimaginable, à laquelle elle n’aurait jamais pensé : elle se laisse glisser au sol, à genoux, pose sa joue contre la bite engluée de mouille et de foutre mélangés. Il la regarde, subjugué par le geste de sa partenaire. Alors il saisit sa queue encore dure, la frotte contre le visage de Nicole, les joues, les lèvres, les ailes du nez, le menton, le cou. Elle le laisse faire, passive, soumise, le sperme gluant sur le bas de son visage. Elle respire les effluves de leur étreinte, cette odeur forte de sexe qui l’avait intriguée quand elle avait pénétré dans le bureau du boss après la sortie d’Eléanore. Elle aime cette odeur ; elle l’enivre. C’est ...
... tellement sale et excitant, délicieusement excitant… Quelques minutes plus tard, ils sont allongés dans le canapé, elle blottie contre lui, une main posée sur la queue redevenue molle de son boss, lui caressant tendrement les cheveux emmêlés, avec toujours cette odeur forte de sperme et de cyprine. — Nicole, je vous invite à dîner. Aimez-vous les fruits de mer ?— Oh oui, j’adore ça ! répond-elle, un grand sourire aux lèvres.— Alors allons-y. Maintenant à l’aise, décontractée, la peau du visage devenue lisse et détendue, elle éclate de rire. — Attendez, je ne peux pas partir comme ça : il faut que je retrouve une mine convenable. Et vous, vous sentez l’artisan ayant transpiré toute la journée ! Une heure plus tard, elle vêtue de son tailleur de cuir noir, chemisier blanc, bas noirs et escarpins, ils partent. Elle passe le bras sous le coude de son partenaire. Elle se sent vraiment bien. Dans la brasserie, assis côte à côte, un plateau de fruits de mer face à eux, elle se sent délicieusement bien. De temps en temps il passe la main sous la nappe blanche, caresse furtivement la cuisse de Nicole. Elle a remonté sa jupe afin qu’il ait accès à la peau nue au-dessus de la lisière des bas. Il joue avec la jarretelle, glisse les doigts sous le bas, flatte la peau moite, sans excès. Une soirée merveilleuse, comme elle n’en a jamais vraiment connue depuis le départ de son mari. De retour chez elle, ils font l’amour ; ils baisent, puis refont l’amour tendrement, dans le lit, elle nue, mais… ...