1. Charme discret d une bourgeoise


    Datte: 16/07/2019, Catégories: Mature, Sexe Interracial,

    J'étais prof de tennis dans une petite ville de province. J'étais arrivélà-bas par hasard. Une histoire d'amour qui tourna mal. Mon amie un jourdécida de me planter. Il est vrai j'avais eu à la fois des comportementsde lâche et d'infidèle. Le temps où je la suppliais de revenir ne futpas à mon honneur. Le plus sage eût été de quitter la région et demettre entre mon ignominie et moi une certaine distance. Peut-être latrentaine me parut le terme de ma jeunesse et le début de monenlisement. Je pris racine ici du jour au lendemain.Quoiqu'il en soit je demeurais dans cet appartement où nous avions vécu.Peut-être espérais-je qu'elle revienne. Au club de tennis j’avais matroupe d'amis. J'y trouvais des filles et des femmes complaisantes.J'avais ma petite cour au bar du centre. Je dégénérais petit à petit enun vieux con. La couleur de ma peau était devenue une sorte d'atout.Beau gosse on me surnommait Yannick Noah. J'étais un furieux de la fête.Peu à peu je convertis même mes ennemis. Gloire locale je ne concevaispas de fuir mon nouveau royaume. Je crus ce temps-là être heureux.Tout aurait pu demeurer longtemps ainsi. Cependant je ne vis pas venirle destin qui arrive sur ses ailes de colombe. Celui-ci était la femmedu maire que je croisais souvent la saluant de loin. Une belle femmebrune, quinqua avancée. Elle avait été la beauté de l’arrondissement etavait fait tourner les têtes. La légende lui prêtait d'avoir subjugué unjour un ministre voire un présidentiable. A voir son air ...
    ... chaste etréservé j'avais du mal à croire qu'elle put être ce volcan. Intimidésans doute je ne la saluais donc que de loin. Mon monde était tropéloigné du sien.Il se trouva qu’elle s’était mise en tête de dégourdir son petit fils,un bambin de dix ans. Le môme était peu doué et s'ennuyait à mes cours.Je parvins plus tard à convaincre la grand-mère de lui trouver un autresport ou une autre occupation. En attendant et à l’occasion de quelquesleçons j'eus l'opportunité de mieux connaître la dame, épouse du maire.La glace fut rompue le premier jour. Elle me révéla qu'elle avait connumon ancienne amie. Goguenarde elle m'avoua que celle-ci m'avait rendu ungrand service en me rendant ma liberté.Je fus étonné de son propos leste et impertinent. Malicieuse elle ajoutaque mon ex amie lui avait confié le détail de son histoire et de mesturpitudes. Je ne pensais pas que madame la maire put s'abaisser à mieuxconnaître une histoire de fesses d’une de ses administrées. Jedécouvrais cette femme sous son jour singulier. Je concevais mieuxqu’elle ait pu être un volcan. De même je pus repérer en son regardcette petite lueur qui vous traduit que vous n'indifférez pas à cettefemme. Elle n'était pas la première femme d'age mûr qui craqua pour mesmuscles durs suant sous le soleil.Je vis comme un jeu de vouloir la séduire. J’avais attrapé quelquesfemmes de notables déjà. Ne pouvais-je prétendre à un rang plus suprême? De toute façon elle avait du être entretenu de ma réputation de boncoup. Les garces même ...
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