1. Charme discret d une bourgeoise


    Datte: 16/07/2019, Catégories: Mature, Sexe Interracial,

    ... entre elles aiment à se vanter de leurs bonnesfortunes. Je n'avais point de gants à prendre avec elle. Je rêvaisbientôt de mettre dans mon lit cette femme remarquable. Cela devintcomme une obsession. Elle avait compris mon message et pour cela me fitlambiner. Son petit sourire marquait comme du mépris pour le dragueurque j'étais.Je dus attendre que madame consentit au moment de sa chute. Tel le réelchasseur je savais m'armer de patience et m'asseoir sur un sotamour-propre. Je n’aspirais qu'à entrer dans la place et à la posséderun instant fut-ce au péril de la vie. Les mantes religieuses assurent dela sorte leur carnage de mâles. J'eus moins à souffrir de dégâts. Aucontraire le moment fut magnifique et intense. Elle me paya de ma peinece jour-là. Mon instinct ne m’avait pas égaré. Ce genre de brune auxrondeurs épanouies ne déçoit jamais. La sensualité est toujours aurendez-vous.Durant deux heures à l'hôtel ce fut un combat de tous les instants. L'unne voulant céder à l’autre. Il n'y eût pas de perdant ni de vainqueur.Nous nous retrouvâmes fourbus mais heureux enlacés tels deux amants. Jene m’attendais pas d'être ému autant par une femme. Cela faisait silongtemps. Elle-même en parut ébranlée. Il était indubitable que nousrecommencerions. A la recherche d'un trésor on veut creuser plusprofond. Nous étions comme deux fous à la recherche de cet or. Il nousimportait que ce fut fou ou une chimère. Nous étions prêts à allerensemble en Enfer.Je n'avais pas compté que cette personne ...
    ... si digne et réservée put êtredans l'intime un volcan et une garce. Le contraste était saisissant etpour dire excitant. J'ai encore à découvrir dans le sexe me disais-je.Je découvrais que cette femme cultivait le vice et la perversité. Sansdoute avait-elle eu nombre d'amants dont d'autres et moi n’avions jamaiseu idée. Quel génie de la dissimulation en cela. Elle ne voulut jamaisentrer dans le détail de sa personnalité. Elle m’opposait un murmutique. Je voulais lui faire admettre que cette fureur de sexerépondait peut-être à une certaine blessure.Elle me rétorquait avec un sourire de sphinx : je ne t'ai pas convoquépour ratiociner mais pour me baiser. Elle avait raison. Que nousimportait le misérable petit tas de secrets que nous trimbalions. Elleavait toujours eu tact de ne me parler d'avenir. Elle vivait dansl'instant. Elle n'avait cure de mes autres maîtresses et desseins pourdemain. Elle revendiquait seule ma bite et les talents de celle-ci.Chaque jour était défi. Il fallait pousser plus loin nos jouissances etimagination. Je m'y dépensais sans compter. Je n'étais pas loin certainjour d'y laisser la santé.Au bout du compte j'en devins drogué. Je dédaignais mes autres amies. Jelui en fis un jour la confidence comme par dépit. Je faisais cet aveuafin d'obtenir qu'elle fit de même en me révélant quelques-unes de sesautres pratiques voire de mes rivaux. En fait la jalousie me gagnait àmesure. J'en savais le danger car elle m'en avait prévenu. Elle avaitrendu fou d'autres hommes ...