1. Conte de la Chasseresse (1)


    Datte: 18/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Dans les vallées rurales et forestières du Tourain setrouve le village de Heorald. Un petit village assez isolé, prospérant dans la paix et dans la vie simple. On aurait presque pu qualifier ce village de hameau, du fait de son isolement, néanmoins, les gens qui y vivent sont heureux, et loin des problèmes complexes de leur pays et de leur monde. Un peu plus éloigné, dans les plaines luxuriantes de verdures, de forêts de chêne et d’être, se trouvait la maison de Laure Noblevoix, une femme dont le nom évoque divers plaisirs de l’esprit et l’exquis, et à la fois une personne qu’on ne voit que peu souvent en ville. Elle vivait seule une vie de paysanne et de chasseresse, restant extérieur au monde des autres gens. C’était pourtant une femme très pensante, intelligente et avec du caractère qu’elle forgea grâce au passé, qu’il est dit héroïque, qu’elle a eut. Elle vivait avec son chien, Fel’De, un magnifique labrador-husky au pelage long et lisse. Un jour comme les autres, alors qu’elle chassait dans les forêts embrumées des terres du Sud du Tourain, le bruit d’un galop proche retentit, faisant écho sur les racines de la montagne que les vallées forestières longeaient. Et dans la brume apparut à Laure un magnifique cheval brun, monté par un homme dans la fleur de l’âge à la vêture raffinée, sans aucun doute un aristocrate de Üden Bark. Il s’arrêta devant elle, comme si une aura l’avait freiné, pour une raison que seuls les passionnés connaissent. Laure, vêtue d’un haut en fin ...
    ... tissu blanc prônant une poitrine généreuse lança un regard au cavalier, toujours avec son arc en main. Finalement, le cavalier s’adressa à elle d’une voix presque timide : -Que fais donc unejeune femme seule en forêt ? -Je ne suis pas perdue, je chasse, et vous avez fait fuir ma proie. -Vous chassez ? Mais enfin, laissez moi vous offrir le dîner pour me faire pardonner ! Laure regarda aux alentours, toujours avec son arc en main avec une coiffe sublime, mais elle lança un regard comme «dominateur» sur le cavalier, comme pour dire simplement «non... mais...» -C’est bien dommage que vous renonciez à un tel présent ! -En effet, répondit-elle laconiquement en posant son pied à hauteur du genou sur un arbre déchu, sans chercher à cache ses jambes dans de belles bottes en cuir,laissant entrevoir ses genoux et le bas de ses cuisses partiellement caché par son haut en lambeaux. Le cavalier sortit alors de son fourreau une rose, qu’il lui lança, puis il s’adresse à elle à nouveau en la regardant droit dans ses yeux bleus et gris. -Un jour vous connaîtrez mon nom, et vous ne serrez point déçue. Laure riant, répondit alors en souriant -Je l’espère bien, puis ils se quittèrent. Laure rentra alors chez elle, sans dîner, elle traversa l’allée boueuse de sa propriété, sous la péninsule de terre, dans la vallée qui descend de la montagne. Sa maison ressemblait plus à un camp de chasse qu’à une vraie maison. Son foyer était fait en planches de chênes noires, avec de simples vitres, laissant à ...
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