1. Conte de la Chasseresse (1)


    Datte: 18/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... quiconque le veut regarder. Elle fit en rentrant une énormecaresse à Fel’De, puis commença à se déshabiller, enlevant lentement son haut, faisant rebondir ses seins, puis elle enleva ses élégantes bottes de chasseresse, et mis les pieds dans son bain. Elle commença à se laver en passant son savon sur tout son corps, passant sur son ventre et entre sa poitrine magnifique. Son chien, quelque peu excité par les belles fesses nues et rebondissantes de sa maîtresse, aboya plusieurs fois, s’approchant d’elle en essayant de mettre quelque coups de langue discrets d’abord sur une jambe, puis il glissa sa langue entre les fesses de sa maîtresse qui l’arrêta immédiatement en rigolant, voyant son chien parti bouder sur son duvet. Soudain, quelqu’un toqua à la porte, la dépêchant. Elle se rhabilla avec une tunique comme éthérée, presque transparente en tissu brodé noir. Elle s’empressa alors d’aller à la porte, dague serrée dans la main. Elle ouvrit la porte d’un coups laissant à ses yeux de se mouvoir dans ceux du cavalier qui était manifestement venu avec le «dîner». Une succulente cuisse de bœuf accompagné d’une très bonne bouteille de vin. Le cavalier, surpris de la voir aussi peu vêtue lui adressa : -Je ne m’attendais pas à vous voir, autant. -Je ne m’attendais pas à vous voir, répondit-elle froidement avec un sourire laissant tout de même ses seins presque nus à sa vue, mais elle n’était pas gêné. Fel’De, non plus ne disait rien, entrez donc et asseyez vous, je vais m’habiller. ...
    ... -Je vais allumer le feu, dit-il en mettant quelques bûches dans la cheminée traditionnelle au centre de la pièce. Laure revint, vêtue d’une chemise blanche très ouverte avec un pantalon brun et de belles bottes légères. -Nous n’allons pas au bal madame, dit le cavalier, flatteur. -Vous êtes d’un humour si unique. Mais ce n’est pas une raison pour mal recevoir ses «invités» -Hmm... barba-t-il, l’a voyant s’asseoir en face de lui, devant une table en vois, alors elle le regarda suspicieusement en lui lançant : -Alors qu’est ce qui vous amène dans le coin ? -Et bien je... Je... bégaya-t-il en s’arrêtant à la sensation très étrange qu’il eut à l’entre-jambe, et il sût, quand son regard croisa celui de Laure qui le dévorait sans trop de faiblesse, ses pieds, dévêtues, étaient en train de jouer avec le glaive du chevalier sous la table encore dans son fourreau, abasourdi, il répondit -Je... Je ne pensais pas que... -Vous êtes venu pour ça, répondit Laure tout en continuant de faire des va-et-vient avec l’espadon droit du cavalier. Vous plaignez-vous ? Car je n’en ai pas la sensation. Le cavalier laissa paraître un rictus de plaisir et tenta de répondre, mais avant qu’il le puisse, Laure retira ses pieds, car ses vomis de plaisir s’étaient déjà répandu dans ses sous-vêtements, paralysant le cavalier pendant quelques secondes d’incompréhension et de béatitude. hthoosr Laure posa fermement ses deux mains sur la table en lançant un sourire malicieux à son invité qu’elle venait debranler ...