1. Pour l'amour des yeux


    Datte: 23/06/2017, Catégories: fh, inconnu, magasin, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    J’ai longtemps cru que seuls les hommes avaient des fantasmes cochons. Je pensais, comme beaucoup, que les femmes avaient besoin d’éprouver quelque sentiment pour se livrer sexuellement. Et que la morale toujours les retenait. J’étais, en fait, incapable d’imaginer une femme rêvant à des scènes de sexe. Je ne les en croyais pas capables. Mesdames, ne m’en veuillez pas, mais avouez que c’est le discours convenu et traditionnel entretenu par beaucoup. J’ai changé d’avis, il y a quelques années, en rencontrant celle qui est depuis devenue ma femme. J’ai découvert le jour de notre rencontre combien une femme pouvait aussi avoir des envies, liées à des fantasmes particuliers et passer à l’action dans le but de satisfaire un besoin. Ma femme aime se montrer. Ce qui nous a fait nous rencontrer, c’est le fait que j’aime regarder. J’étais ce jour-là dans un magasin d’une grande enseigne, au rayon littérature érotique. J’avais bien remarqué la présence inhabituelle de cette charmante jeune femme. Elle était jolie, un visage doux, un regard timide, un peu fuyant. Cet aspect ne correspondait pas à sa tenue. Elle portait une jupe courte, un chemisier blanc sous une veste courte ouverte. Des bottes de cuir jusqu’aux genoux et j’adore les bottes. Ses jambes étaient délicieusement gainées de soie car elle portait un collant. J’eus immédiatement une émotion et tombai sous le charme de cette jeune femme sexy, égarée au milieu de ce rayon de perdition. Je feuilletais quelques livres, sans ...
    ... conviction car j’étais plus intrigué par son manège. Toujours avec cet air d’ingénue, elle lisait aussi. Elle tenait une BD en main du dessinateur Serpieri. Elle s’accroupit, plongée dans sa lecture. Elle semblait ne plus faire attention à ce qui l’entourait. Doucement, je m’approchais d’elle, l’air de rien. Je voulais sentir son parfum. Un délice. J’étais excité par elle. Je bandais déjà et j’avais envie d’en voir plus. De ma position, je découvris que son chemisier était très largement ouvert. J’aperçus même un sein. Surtout que personne ne vienne ! Que personne ne vienne troubler l’instant. Je la veux pour moi seul. Ce sein, rond, plein ! J’apercevais le téton. Il était gonflé. Elle devait être excitée par la lecture de cette BD érotique. Elle leva soudain la tête et me surprit le regard plongé dans l’ouverture de son chemisier. Elle me fit un sourire tellement plein de douceur que je sus que quelque chose se passait. Elle avait forcément vu que je la déshabillais du regard. Elle se replongea dans la lecture de cet album. Elle écarta encore ses cuisses. —Là, c’est du lourd ! pensai-je. Sa jupe s’était relevée sur le haut de ses cuisses. Mais du coup, j’étais là un peu haut. Je fis deux pas de côté, un coup d’œil, encore un pas. J’aperçus son entrejambe caché par le délicat barrage de son collant. Pas de culotte ! Rien que le collant, barrière perméable et fragile. Là, tapi derrière l’écran noir diffus, son sexe ! À portée de regard, si j’avais été plus près. Je ne me cachais ...
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