1. Pour l'amour des yeux


    Datte: 23/06/2017, Catégories: fh, inconnu, magasin, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... opposée, concentrée sur le plaisir auquel je participais en la regardant faire. Ma queue coulait, je refusais de la toucher de peur d’éjaculer brutalement. Mais je ne pus résister à l’envie de me déshabiller totalement. Volontairement, je jetai mes habits au sol pour qu’elle sache. Qu’elle sache que j’aimais son spectacle et que je la désirais. Elle tourna son visage vers le sol. Elle eut un bref sourire. Elle se baisait avec quatre doigts, dilatant sa chatte qui acceptait l’hommage. Le collant quasiment détruit me laissait voir la raie de ses fesses ouvertes et son œillet brun. Elle posa une main sur une fesse et l’écarta. Son majeur se tendit et effleura la pastille brune. Elle soupira. Je l’entendis murmurer : — C’est bon. Ah, c’est bon. Regarde-moi. Sa voix. La première fois que j’entendais sa voix. Le majeur caressait l’œillet. L’ongle vermillon disparut entre les muscles ronds qui l’acceptèrent. Je pense que cette double caresse l’acheva. Elle se mit à soupirer et son corps à s’agiter de façon désordonnée. Elle était en train de jouir sous mes yeux. Au paroxysme de son orgasme, le majeur s’enfila entièrement entre ses fesses. Elle resta comme prostrée quelques instants, haletante, essoufflée. Puis elle revint à la vie. Elle était belle. Elle retira son collant complètement. Je tentai ma chance et enfonçai ma queue au gland luisant dans le trou. Allait-elle calmer la tempête qu’elle avait fait naître. J’attendais ridiculement planté dans cette cloison ...
    ... qu’elle fasse un geste pour moi. L’attente était insupportable. Soudain, un effleurement léger. Le collant ! Elle le balançait sur ma queue pour une caresse irréelle. Une bouche m’aurait comblé mais ce discret balayage me procura des sensations nouvelles qui renforcèrent mon érection. Je bougeais mimant le coït pour prouver mon plaisir. Un souffle chaud sur mon gland ! J’attendais, appelais sa langue. Elle soufflait de très près car c’était chaud sans cesser de me caresser avec le bas. Plus rien. Le collant tomba au sol. La porte de sa cabine claqua. J’entendis le bruit de ses talons sur le marbre. Elle partait me laissant avec ma raideur et ma déception. Je ramassai le collant. J’aperçus les taches blanchâtres et le portai à mes narines pour humer son odeur. J’étais anéanti mais toujours raide. Je léchai le collant, l’aspirais pour tout sucer. C’était délicieux, parfumé. J’empoignai ma queue avec le collant et me mis à me branler en repensant à ce que j’avais vu. Je jouis comme un fou, abondamment, mêlant ma semence à ses sécrétions dans un acte solitaire et désespéré. Je me rhabillai et sortis de la cabine, un peu triste. À son comptoir, le noir me fit un sourire. Je ne répondis pas à cette bonne humeur qui n’était pas la mienne. — Hey ! Je me retournai. — Elle vient tous les trois jours. Sans exception. Je lui rendis enfin son sourire. Trois jours après, elle déposait 50 euros sur le comptoir du noir. Trente jours après, je défonçais la porte de sa cabine. 
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