1. Le meilleur ami de mon beau-père


    Datte: 19/07/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, voiture, volupté, Masturbation Oral ecriv_f,

    Paul, un Écossais âgé de 41 ans, était le meilleur ami de mon beau-père. Moi qui, à l’époque, avais à peine vingt ans, il m’attirait, me faisait peur… et m’excitait avec sa force et sa puissance de mâle. Je le traitais parfois de macho, ce qui le faisait rire. Un matin, il passa à la maison pour prendre de nos nouvelles. Il s’était installé confortablement sur le canapé et bavardait joyeusement avec mon beau-père lorsque, réveillée depuis peu, j’entrai dans le salon. Intimidée, je me contentai d’aller m’affaler sur un fauteuil pour regarder la télé, suivant avec difficulté la série du moment, tellement la voix chaude de Paul me charmait… Ma mère sortit de la cuisine et me demanda d’aller faire des courses pour elle, mais la plupart des ingrédients qu’elle me demandait de rapporter ne se trouvaient pas au supermarché du coin. — Je peux emmener ta fille à la grande épicerie anglaise, si tu veux, Denise ! Ça ne me pose pas de problème et je dois y faire des courses, moi aussi ! proposa spontanément Paul. Comme par hasard…! Je me demandai s’il ne cherchait pas une occasion de se retrouver seul avec moi. Il faut dire que je remarquais sa façon de me regarder quand il pensait que je ne le voyais pas. Un regard troublé et appuyé… — Merci, Paul, tu me rends un grand service ! Vivie, tu veux bien y aller, s’il te plaît ? J’en ai besoin pour demain et je n’ai pas le temps de tout faire.— Oui, maman, fis-je de mauvaise grâce… Je retournai dans ma chambre me changer, enfilant une jupe à ...
    ... motifs écossais vert foncé et rouge et un t-shirt moulant rouge avec des sandales assorties. Il faut dire que, pendant les vacances, j’enfilais ma tenue d’intérieur lorsque je ne sortais pas : grand t-shirt blanc informe et pantalon beige très large pour un maximum de confort (et un peu par paresse aussi, je dois bien l’avouer !) Ainsi prête et munie de l’argent des courses, je montai dans le gros 4x4 luxueux noir de Paul, enfin j’essayais car il était tellement haut que je n’arrivais pas à poser mon pied sur le marchepied à cause de l’étroitesse de la jupe. — Veux-tu un coup de main? fit Paul en rigolant.— Euh! oui ça ne serait pas de refus…— Attends, j’arrive. Il se mit derrière moi mais, contrairement à mes attentes, au lieu de me soulever par la taille, il posa une main sur mes hanches et l’autre sur une de mes fesses et me poussa vers le haut. M’agrippant à la poignée fixée au plafond côté passager, je m’installai, troublée, sur le siège. Je sentais encore la chaleur de ses mains comme si elles y étaient toujours… douce caresse innocente ? — Alors Vivie, ça va comment ta vie ? Qu’est-ce que tu deviens ? Tu ne nous racontes jamais rien, à ta famille et aux amis ! attaqua-t-il. Je le regardai en biais, silencieuse. Son profil se découpait sur le fond du paysage qui passait derrière lui. Brun et mat de peau, avec des yeux presque noirs, il ne ressemblait pas aux Écossais… une petite et fine cicatrice en forme d’étoile ornait sa tempe gauche, discrète. Il n’avait jamais dit ...
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