1. Le meilleur ami de mon beau-père


    Datte: 19/07/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, voiture, volupté, Masturbation Oral ecriv_f,

    ... l’origine de celle-ci. Les cheveux coupés court à la tondeuse faisaient ressortir ses traits masculins et dégageaient ses larges épaules. Étant un ancien commando, il était musclé et très grand. Doté une grande discipline et d’un caractère assez autoritaire, il savait être gentil et s’amuser. Même trop parfois. Étant en internat l’année scolaire, je ne vivais pas avec ma famille à plein temps, je menais ma vie en parallèle et préservais mon jardin secret… Ce qui intriguait Paul, c’était ma vie sentimentale, ce n’était pas la première fois qu’il me posait ces questions, il devait penser que j’étais vierge, ce qui n’est pas faux… Je me contentais d’innocents baisers et de flirts poussés avec mes petits amis. Tout en conduisant, Paul jetait des coups d’œil dans ma direction. Patient, il attendait ma réponse sans me forcer. — Je viens de rompre avec mon petit ami, sinon l’école ça va, fis-je laconiquement. Surpris, il se gara sur une petite route à l’écart, près d’une forêt, pour ne pas gêner la circulation sur la route nationale. Il se tourna vers moi et se mit à me parler doucement. — Comment ça se fait que tu aies rompu ? J’ignorais que tu avais un petit ami… Veux-tu en parler ? Surprise de le voir aussi gentil et à l’écoute, alors que d’habitude il se comportait en macho sans cœur, je le regardai puis finis par fondre en larmes… En vérité ma rupture m’avait fait souffrir ; étant un coureur de jupons, Gabriel m’avait plaquée aussitôt qu’il s’était rendu compte qu’il ...
    ... n’obtiendrait rien de moi. Je racontai tout cela, les joues baignées de larmes, à Paul. M’ayant prise dans ses bras, il me berçait tendrement, sans un mot… Puis il commença à caresser légèrement mes longs cheveux châtain clair, dont le soleil faisait briller les reflets dorés de ses rayons doux et chaleureux. — Oh ! Ma pauvre chérie, pourquoi ne pas en avoir parlé plus tôt, ça t’aurait fait du bien. Continuant à pleurer, je me serrai plus fort contre lui puis, me calmant peu à peu, je finis par pouvoir parler, la voix chevrotante. — Je ne pouvais pas, c’est trop personnel, ça fait trop mal d’en parler. Qu’est-ce que j’ai fait de mal ? Je n’ai pas fait ce qu’il fallait pour qu’il reste avec moi ?— Non, non, c’est un abruti ! protesta-t-il. Il ne te méritait pas. Tout en me caressant les cheveux pour me consoler, il me serrait contre lui. Puis je sentis sa main glisser sur ma nuque puis s’évader sur mon dos. Ma respiration se calmait sous la caresse. Sa main se promenait lentement, traçant des sillons au creux de ma colonne vertébrale… je frissonnai d’aise. Les joues baignées de larmes je relevai la tête pour le regarder. Il planta ses yeux d’ébène dans mes yeux et fredonna une chanson d’une voix douce… mon cœur battait tellement fort dans ma tête que je ne saisissais pas les paroles, seule sa voix m’apaisait. Je commençai à me frotter doucement contre lui, j’étais tellement bien dans ses bras… Sans prévenir, j’ignore qui de nous deux a fait le premier pas, nos lèvres s’effleurèrent. ...
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