1. J'ai eu une belle vie - Chapitre I


    Datte: 19/07/2019, Catégories: f, h, Masturbation aventure,

    ... doute avait-elle lutté, car sa robe de lin était déchirée sur le devant. Je vis ses seins. Elle avait une peau mate, soyeuse et brillante de sueur. Des seins ronds, fermes. Le désir me reprit. Je m’avançai vers elle. Sous mon heaume, les gouttes de sueur ruisselaient, brouillant ma vue. Ses seins me captivaient. Elle allait être à moi. L’homme d’armes la jeta à mes pieds. Cette violence me choqua. Je ne dis rien car mes hommes n’auraient pas compris. Je les avais si souvent conduits dans des combats féroces, dont toujours nous étions sortis victorieux. Je me penchai et la saisis au poignet. Mon gant de cuir gratta la fine peau de son bras, elle rugit de colère. Elle était là, debout devant moi, poitrine offerte, soulevée au rythme de sa respiration haletante. Son regard me toisait, elle m’insulta. — Cette fille est folle, dit un de mes cavaliers, déclenchant les rires de la troupe.— Partons, dis-je, il n’y a rien ici. À l’époque, les gens simples étaient dociles, habituelles victimes des guerres entre seigneurs. Ils passaient de l’un à l’autre, c’était leur vie. Je pensais que, plus jamais, elle n’aurait d’autre seigneur que moi. Je ne voulais d’autres mains sur elle que les miennes. Je voulais que personne ne puisse soupeser ses seins, baiser ses tétons, tenir ses hanches. Elle prit place derrière moi. Comme elle refusait de me tenir, je lançai ma monture au galop. De peur de tomber, elle finit par se soumettre et enfin, je sentis ses mains se placer sur mes hanches. Je ...
    ... maudis ma cotte de maille qui gâchait tout. J’avais finalement épargné son village et je sentis rapidement que mes hommes m’en voulaient. Ils n’avaient pas eu leur dose. Je décidai cependant de rester tranquille quelques temps au château. Je n’avais pas encore parlé à cette fille. Elle restait muette et je ne savais que lui dire. Ma passion ne fléchissait pas. Elle dormait dans ma chambre sur une paillasse, bien que j’aie discrètement ordonné qu’on ajoute une couche. Je savais que l’été passerait vite et qu’elle ne supporterait pas longtemps le dallage froid. Jamais je n’avais autant attendu avant de consommer une femme. JAMAIS ! Je dus ordonner quelques attaques durant l’été pour satisfaire mes vues politiques et surtout stimuler ma troupe qui devenait nonchalante, faute d’action. Elle m’accompagna. Elle assista à tout, à mes côtés. Je surprenais parfois ses regards vers moi. La rage du début était passée. Cela devenait autre chose. Mais elle ne me parlait toujours pas. Octobre arriva et les premières neiges. J’avais fait retirer la couche que je lui destinais dans ma chambre. Le froid devenait pinçant. La nuit, au chaud sous mes couvertures de peau, je l’écoutais grelotter et gémir sous la morsure du froid. Une nuit, quelque chose me réveilla. Je prêtai l’oreille. Je perçus une respiration puissante, un soupir, des frottements de tissu. La lourde porte de ma chambre ne pouvait être ouverte sans bruit. La pleine lune délivrait une lumière blafarde et le rideau de peau laissait ...