1. Un ! Deux ! Trois ! Soleil !


    Datte: 20/07/2019, Catégories: fhh, extracon, inconnu, vacances, hotel, caférestau, intermast, Oral pénétratio, double, fdanus, jeu, init,

    Un ! Deux ! Trois ! Soleil ! Ce week-end de vacances-escapade s’annonçait sous les meilleurs auspices. Pour la première fois depuis des années, sinon depuis leur mariage, Sara et Jean allaient profiter d’un moment à eux, en amoureux, pour se retrouver en totale rupture des préoccupations professionnelles, des voisins, du ménage et du train-train habituel. Les enfants avaient pu être casés chez les grands-parents, ravis de pouvoir les garder et les choyer. Pas de soucis de ce côté-là. Jean avait réservé une chambre dans un splendide et confortable petit hôtel, niché à l’épaule de la montagne, en bordure de forêt. Un collègue lui avait recommandé l’établissement pour son charme et son calme, mais aussi pour la qualité de son équipement et de ses prestations. Un bijou situé à moins d’une heure de voiture de la ville. Le paradis à portée de volant. Jean et Sara venaient de prendre possession de leur chambre. Sara la trouva magnifique. Elle posa ses affaires, prit son élan et se jeta sur le lit, où elle rebondit en éclatant de rire. Jean la rejoignit du même élan et ils roulèrent, entremêlés sur la couette épaisse, en s’amusant comme des gosses. Ils eurent le sentiment de se retrouver projetés des années en arrière, au temps du jeu et de l’insouciance. Jean l’enlaça. — Non, Jean, pas maintenant…— Comment ça, pas maintenant ?— J’ai les affaires à ranger et ce n’est pas le moment… Tu attends ce soir.— Quoi ? Tu joues à la bourgeoise ? Attends… Il s’assit à califourchon sur le ...
    ... ventre de sa femme et, calé sur ses genoux, lui prit le visage entre ses mains. — Tu sais que je suis ton seigneur et maître et que tu dois m’obéir…— Tu parles ! dit-elle en riant… Non, Jean, s’il te plaît… Pas ça! Elle voulut enlever ses mains de sa poitrine. — Tu as des seins superbes, c’est inconvenant de ne pas les caresser, répondit-il, en pétrissant les deux globes de chair ferme et chaude.— … Jean… Tu exagères… Noooon ! C’est à ce moment-là que le mobile sonna…. Le couple se figea, interdit. — Celui-là, tu aurais pu l’éteindre ! protesta Sara. On avait dit qu’on ferait la coupure totale. Jean prit la communication. Son visage se ferma, il hocha plusieurs fois la tête et dit: — C’est bon, j’arrive… Puis il reposa l’appareil d’un air contrarié. — Sara, c’est l’hôpital. Ils ont un greffon, ils vont opérer ce soir encore. Il faut que j’y aille, tu le sais bien…..— Jean, c’est ignoble ! Tu m’avais promis !— Oui, je sais, je te l’avais promis, mais tu sais bien que je traîne avec moi ce genre de contraintes, et que je n’ai pas le choix. Un silence pesant s’établit. Jean se leva en silence et commença à rassembler ses affaires. Il se tourna vers elle : — Je serai de retour pour le petit déjeuner. Je suis désolé. Sara ne répondit pas. Elle écrasa une larme en silence, en pensant à cette soirée pour laquelle elle se réjouissait tant. Elle se sentit spoliée et eut de la peine à contenir sa fureur. De dépit, elle lança une pique venimeuse : — Je te tromperai, si tu me laisses seule ce ...
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