1. Un ! Deux ! Trois ! Soleil !


    Datte: 20/07/2019, Catégories: fhh, extracon, inconnu, vacances, hotel, caférestau, intermast, Oral pénétratio, double, fdanus, jeu, init,

    ... soir ! Jean la regarda d’abord surpris, puis souriant et goguenard : — Chiche ? La fureur de Sara redoubla : — Ne me mets pas au défi ! Je te jure que je le ferai ! Jean ricana : — Eh bien, tu me raconteras ça, demain matin ! C’est un de tes vieux rêves, n’est-ce pas ? Et puis, ça fera du bien à ta libido et à la mienne. Hors d’elle, Sara lui lança un coussin, qu’il évita en éclatant de rire. — Je te recommande le réceptionniste de l’hôtel, t’as vu l’âge et la tronche qu’il a ? Sara se précipita sur lui, de rage. Il la plaqua contre lui et écrasa sa bouche d’un baiser. Puis il fit passer ses bras derrière son dos et les immobilisa d’une seule main. — Tu oses te dresser contre ton seigneur et maître ? Sa main libre descendit vers le ventre de Sara et caressa son mont de Vénus. — Tu ne perds rien pour attendre, ma trésor… Demain matin, je t’enfonce la chatte. De plus, tu es injuste : tu as une soirée cool devant toi, alors que moi, je vais la passer à bosser comme un esclave. Sara se sentit fondre. Jean savait la prendre, et si ce n’était pas par les bons sentiments, c’était encore autrement… Elle se radoucit : — Eh bien soit, je t’attendrai, concéda-t-elle d’une petite voix. Mais ne traîne pas au retour. Elle l’aida à terminer son sac. — Je t’accompagne jusqu’à la voiture. Il devait être vingt et une heure trente. La nuit était tombée sur la terrasse de l’hôtel, et la plupart des convives terminaient leur repas. Un éclairage agréable mettait en valeur les nappes blanches et ...
    ... les bouquets de fleurs multicolores disposés ça et là. Sara commençait à oublier le déception causée par le départ précipité de son mari, lorsque son attention fut attirée par un éclat de rire à la table voisine. Elle avait remarqué ses occupants lorsqu’ils s’étaient installés, au début du repas, à côté de sa table. Deux hommes, encore jeunes, la quarantaine tout au plus, d’aspect viril, calmes et posés et, ma foi, s’était-elle dit, pas désagréables à regarder… Elle s’était encore interrogée sur le fait qu’ils ne soient pas accompagnés. Plusieurs fois, durant le repas, son regard s’était posé sur eux, sans avoir l’air d’y toucher. Elle avait même croisé celui de chacun d’eux, de manière brève, mais appuyée. La pensée de ces regards l’avait accompagnée toute la soirée. Elle s’avoua même qu’elle les guettait. « Bah, se dit-elle, cela me permettra de me distraire. Je suis là, toute seule, comme une imbécile, et ces gars ne sont pas mal du tout… Je ne saurais même pas me décider entre l’un des deux. Mon dieu, si Jean m’entendait penser… Et puis zut ! Il n’avait qu’à être là !» Le plus grand était parti d’un fou rire irrépressible au moment où il portait son verre à sa bouche. Maintenant, il tâchait de réparer les dégâts, en tapotant autour de lui avec sa serviette pliée en quatre. Il remarqua enfin la tache de vin sur son tee-shirt et fit la grimace. Sara ne put s’empêcher de pouffer devant sa déconvenue. Leurs regards surpris se tournèrent vers elle. Elle se sentit rougir comme ...
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