1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Première fois

    ... visage un maquillage discret mais raffiné, je me préparais à mon tour et je m’aperçus avec angoisse que je n’avais rien apporté qui puisse (et de loin) rivaliser avec sa tenue. J’allais avoir l’air d’un plouc à ses cotés.Nous sommes sortis emmitouflés dans nos manteaux, le fond de l’air s’était soudainement rafraîchi dans la journée.Arrivés au restau légèrement en retard, on nous conduisit vers notre table après avoir pris notre vestiaire. Nos « hôtes » nous attendaient. A notre approche, j’eus l’impression de voir cinq clones du loup de Tex Avery figés dans notre direction (ou plutôt dans la direction de Caroline) : dix yeux s’exorbitaient vers ma camarade pendant que cinq mâchoires tombaient sur la table en laissant se dérouler jusqu’au sol cinq langues de trois mètres de long.Ils ne firent pas plus de commentaire, leur attitude suffisait. Caroline parue satisfaite de son petit effet.Je m’assis autour de la table ronde, à la gauche de la seule dame de la tablée qui serait sans aucun doute l’unique point de mire de la soirée ; je n’avais plus à me soucier de mon air plouc.Le repas fut agréable et joyeux, nous parlâmes beaucoup boulot, chacun y allant de ses anecdotes croustillantes. Caroline et moi narrâmes les multiples imbroglios liés à notre nom commun, lorsqu’on nous prend pour Monsieur et Madame (sans mentionner le dernier en date, évidemment).Nos interlocuteurs s’avérèrent d’une conversation intéressante, ils étaient assez bavards à l’exception de celui qui était ...
    ... assis directement à droite de Caroline. Celui-là était plongé si profondément dans le décolleté de sa voisine, qu’à mon avis, il lui faudrait respecter un certain nombre de paliers de décompression avant de revenir à la surface.Au fil de la soirée bien arrosée, la discussion s’orienta sur la vie de chacun et c’est là que je m’aperçus qu’ils étaient tous plus jeunes que moi. Peut-être pas de beaucoup, mais cela suffisait à leur donner des références communes que je ne connaissais pas et petit à petit, je me retrouvais exclu de la conversation, ce qui m’attrista un peu.A la fin du repas, les gars proposèrent de finir la soirée dans un club pour boire un coup ou deux.Je trouvais que l’on avait déjà largement bien bu et m’apprêtai à refuser poliment lorsque Caroline accepta avec entrain : « – Ouais, super idée ! J’espère qu’on pourra danser ! »Caramba ! Encore raté pour la fin de soirée en duo.Soit elle avait une pêche d’enfer ce soir, soit elle était déjà sérieusement grisée par l’alcool. Nous voilà partis pour le club.A la grande joie de Caroline, le club possédait effectivement une petite piste de danse autour de laquelle se répartissaient plusieurs alcôves. Nous en avons annexé une et les « jeunes » achetèrent directement une bouteille entière d’un alcool fort que je m’interdis de citer ici mais qui se boit souvent avec du jus d’orange. Ils n’avaient visiblement pas l’intention de rajouter de l’orange.Très rapidement, Caroline alla se trémousser sur la piste en compagnie de rares ...
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