1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Première fois

    Quand le chef m’a appris que j’étais désigné volontaire pour le prochain séminaire des chargés de projet, j’ai fait grise mine, j’appréhendais déjà la soupe à la grimace qu’allait me faire ma femme quand je lui apprendrai que je la laissais seule pendant une semaine à gérer la maison, les deux enfants en plus de son boulot.Quand, en plus, il m’annonça que ça se passerait dans un bled paumé de Provence, j’ai caché ma joie, la Provence, chouette mais début novembre, bof !Quand enfin il m’apprit que je partais avec un collègue et que ce collègue s’appellait Caroline, là j’ai repris des couleurs, c’était une compensation appréciable et la seule bonne nouvelle de la matinée. Il faut dire que ladite Caroline est, dixit mon collègue Gilbert : « la seule gonzesse baisable de l’agence ».Bon, Gilbert ne brille pas par la finesse de ses propos mais je dois admettre que sur ce point, il a raison : 27 ans, mignonne, élancée, pas très grande (1m 65), les cheveux blonds-roux coupés en carré long, les yeux bleux-gris, je la qualifierais de « beau petit lot ».Par ailleurs, elle a oublié d’être idiote et s’avère d’un naturel gai et dynamique.Partir à ce séminaire en sa compagnie serait donc un moindre mal car même si mon cœur est pris (le sien aussi d’ailleurs) et que je n’avais aucune intension de la draguer, se serait toujours plus agréable qu’avec n’importe quel autre collègue – même gilbert !Jour 1, Dimanche.Pour des raisons de mesquines économies nous n’avons pas eu droit à l’avion et ...
    ... avons dû prendre ma voiture pour nous rendre à Gréoux Les Bains, charmante bourgade des Alpes de Haute Provence. Charmante, certes mais quand même à 800 bornes de Paris, ce qui nous a obligés a partir la veille du séminaire.Sur la route, nous avons parlé un bon moment de tout et de rien, elle prenant des nouvelles de ma petite famille et moi de son mari que j’avais eu l’occasion de rencontré une fois ou deux et qui, détail amusant, se nomme comme moi : D’Ernemont. Ce qui fait que sans avoir aucun lien de parenté, nous portons Caroline et moi le même nom ce qui ne manque pas de créer la confusion et de souvent nous amuser car beaucoup nous prennent pour mari et femme (si on s’était appelé Martin, Dupont ou Lefevre ce serait peut-être moins arrivé).Certains, et là ça m’amuse en général moins, nous croient père et fille.Il faut dire à leur décharge qu’avec son petit nez à la retrousse et ses taches de rousseur elle paraît bien moins que son age et en revanche, mes cheveux prématurément poivre-et-sel me vieillissent au-delà de mes 35 ans mais il n’empêche que cela me démange de montrer à ceux-là mes tablettes de chocolat et de leur demander si comme moi ils courrent leur 40 kms par semaine.Au bout d’un certain temps, Caroline m’a demandé si ça ne me dérangeait pas qu’elle dorme un peu pour récupérer de son week-end fatigant. J’ai donc continué à conduire en silence tout en l’observant à intervalles réguliers pendant son sommeil. C’est là que j’ai regrété qu’on ne fut pas en été. En ...
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