1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Première fois

    ... »« – Non, seuls certains sur notre rangée ont peut-être remarqué qu’elle se trémoussait sur mes genoux, mais ils n’ont rien dit. » « Sinon aussi, un grand classique : au boulot de ma femme. Ils avaient invité les conjoints pour un pot de fin d’année ; à un moment, on s’est éclipsé dans son bureau, et je l’ai prise comme ça, sur son bureau, entre l’ordinateur et l’imprimante et alors que ses collègues étaient en train de trinquer dans la pièce d’à-côté et que la porte ne pouvait pas être verrouillée. »« – Ouah ! Monsieur aime bien le danger ! »« – Ca donne du piment. Et toi, c’était où ? »« – Euh… A l’arrière d’un car avec Marc, pendant un voyage organisé. »« – Pendant la nuit ? »« – Non le jour, on était les seuls sur la banquette arrière. Comme ta copine, je me suis assise sur lui. »Je lui demandais des précisions et, petit à petit, j’arrivais à en obtenir.Nous avons continué à nous raconter des anecdotes plus ou moins olé-olé.Caroline se révélait être une fille assez déroutante. Tour à tour osée et timide, délurée et coincée (mais je crois que s’était plutôt son mec qui était coincé).Au fil de la discussion, j’ai donc réussi à contourner la barrière de son premier refus et nous nous sommes échangé un certain nombre de détails intimes. Cela a paru lui procurer des sensations car, à la fin du repas, elle arborait des joues bien roses alors que ce soir là nous n’avons bu que de l’eau.Finalement, nous avons regagné notre chambre plus tard que prévu. Dehors, une pluie glacée ...
    ... tombait.Après des préparatifs du soir retrouvant leur classicisme du début de semaine (chouette ! Retour du défilé de nuisette !), nous nous sommes allongés chacun de notre coté habituel.L’hôtel avait dû pousser le chauffage et au bout de quelques minutes j’eus trop chaud. J’en fis part à Caroline.« – J’ai super chaud ! Ca ne te dérange pas si on baisse les draps ? »« – Je préfère pas, moi, j’ai plutôt froid. » (Ah les filles ! Rien que des frileuses.)« – Est-ce que tu me permets d’enlever mon caleçon alors ? » (Les gars qui, comme moi, ont l’habitude de dormir tout nu me comprendront : le moindre vêtement, même un slip, vous donne chaud).« – Fait comme tu veux, mon grand, on est des adultes responsables, fais-lui prendre l’air si tu veux, si ça peut te faire baisser le thermomètre. » Répondit-elle avec un petit gloussement.Une demi-heure plus tard, nous ne dormions ni l’un ni l’autre, je la sentais se retourner incessamment sans trouver sa position. Notre discussion du soir nous avait sans doute un peu trop énervés.Ce fut elle qui reprit :« – Christophe ? »« – Moui ? »« – Est-ce que tu voudrais bien qu’on se mette dans la position des cuillers collées ? D’habitude je m’endors toujours comme ça et là, ça commence à me manquer. »Je voyais très bien de quoi elle parlait : tous les couples connaissent cette position où la femme se met en position fœtale et l’homme vient se coller derrière elle, dans la même position, comme pour la protéger. Chaque couple a sa manière d’appeler ...
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