Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 21/07/2019,
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Première fois
... son nom dans le Kamasutra mais on pourrait l’appeler : « Maman voudrait dormir mais papa ne l’entend pas de cette oreille ») n’est pas très confortable au bout d’un moment et doit se muer en autre chose ( le plus souvent une bonne petite levrette classique) pour laisser libre cours à d’autres mouvements, d’autres sensations.Effectivement, après quelques minutes, je sentis le corps de Caroline bouger et essayer de se redresser. Je me reculai donc pour la laisser se mettre à quatre pattes et profitai de cet intermède pour chercher à tâtons l’interrupteur. Je voulais la voir. Elle dut le sentir et souffla :« – Non ! N’allumes pas ! » Peut-être voulait-elle, grâce à l’obscurité, rester dans l’illusion d’un acte d’amour conjugal conventionnel.C’est donc toujours dans le noir que je me plaçai entre ses jambes ouvertes. Mon oiseau retrouva sans difficulté le chemin de son nouveau nid et pénétra avec grand plaisir son intime moiteur. La nouvelle position me permettait d’aller plus profondément en elle, jusqu’au fond. Elle le sentit bien et murmura d’une petite voix presque paniquée : « Doucement ! Doucement ! » Elle ne devait pas être habituée à mon gabarit (Toujours aussi vantard, ce Christophe !).J’allais et venais donc extrêmement lentement entre ses reins, enfonçais mon épée jusqu’à la garde puis la retirais quasiment entièrement avant de replonger dans son intimité. De façon maintenant quasi continue, elle gémissait et grognait de plaisir. Pendant ce temps, mes mains couraient ...
... sur ses fesses et ses reins, sur une peau qu’elles connaissaient déjà bien mais qui là, frissonnait à chaque caresse.Bien que bougeant très lentement, je sentais que je ne pourrais pas tenir très longtemps comme ça, je ressentis le besoin impérieux de lâcher les chevaux. Progressivement, j’accellèrai le mouvement. J’empoignai sa taille fine et m’introduisis de plus en plus fort en elle. A chaque coup de boutoir, je tapais plus fort dans son fondement, à chaque coup de boutoir, nos genoux avaient tendance à glisser et à s’écarter, me permettant à chaque fois d’aller plus loin si c’était encore possible. Ses gémissements se muèrent en cris rauques, gutturaux comme si ma lance lui arrivait au fond de la gorge.L’assaut fut bref mais intense. Les cuisses écartelées, le bassin secoué de spasmes violents, elle finit dans un long cri qui tenait plus du hurlement (Heureusement étouffé par l’oreiller). De mon coté, tendu comme un arc, je connus mon plaisir dans un grand cri de fauve.Complètement hors d’haleine, je m’écroulai à ses cotés, ivre de plaisir, comme on dit.Après avoir retrouvé un rythme respiratoire plus calme, nous avons repris la position « des cuillers collées », toujours sans échanger une parole.Je me suis endormi, la main sur son sein.Jour 6 – Vendredi.Pour la deuxième fois consécutive, je ne fus pas le premier à me réveiller. Caroline avait déjà tiré les rideaux quand, ouvrant les yeux, je plongeai dans le regard baltique qui me fixait.« – On a fait une grosse bêtise, ...