Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 21/07/2019,
Catégories:
Première fois
... semaine profitent des derniers instants pour poser des questions absurdes ou demander des précisions inutiles alors que tout le monde voudrait en finir au plus vite pour pouvoir regagner ses pénates rapido.C’est donc avec une heure de retard sur l’horaire prévu que nous avons rejoint notre hôtel pour, en toute hâte faire nos bagages et régler la note. La neige s’intensifiait et si elle ne tenait toujours pas, elle menaçait de rendre la conduite pénible.Une fois nos formalités de départ accomplies, nous avons chargé nos bagages dans la voiture et nous sommes installés. Je mis la clé de contact, tournai et… et rien ! Rien ne se passa. Je recommençai, toujours rien.« Dis-donc Christophe, tu sais que normalement, le coup de la panne se fait avant de coucher avec la fille ? Après c’est plus la peine. »Je n’avais pas fait tourner le moteur de la semaine, la batterie déjà pas en forme avait rendu l’âme. A moins qu’en arrivant, tout à mes fantasmes sur ma jolie collègue, je n’aie oublié d’éteindre les phares.Assez furibard, je descendis de voiture et me mis à la recherche d’un garagiste, suivi de Caroline qui, comme à son habitude, semblait trouver la situation très drôle. Décidément, cette fille ne se fâchait jamais.Premier garage : fermé.Second (et donc dernier) garage : « Ah non, mon petit Monsieur, il est 16 H 30, on est vendredi, j’ai personne pour aller vous dépanner là ! » ( Et dire qu’on critique les fonctionnaires !) « Si c’est la batterie, soit vous allez en acheter une ...
... neuve au supermarché, soit vous m’amenez la votre et on la charge pendant la nuit, si elle n’est pas morte. »Etape au supermarché, rayon accessoires auto : Evidemment, la référence de ma batterie était « momentanément indisponible. » L’abattement me tomba d’un coup sur les épaules. J’éprouvais le besoin primaire de balancer mon poing à travers de la figure du premier chef de rayon passant à ma portée.Caroline me prit alors par la taille :« – Tu sais, le retard, la neige, la panne, le garage, le supermarché et maintenant la nuit qui tombe… j’ai l’impression qu’une force supérieure veut nous faire passer une nuit supplémentaire ensemble » et elle me décocha un petit clin d’œil mutin.Mon ego d’homme vexé fut d’un coup rassuré. Elle n’avait pas tort.Après un démontage fastidieux, nous avons confié l’objet du délit au garagiste et nous sommes retournés, avec nos bagages à l’accueil de l’hôtel. Ce n’était pas le même réceptionniste que le premier jour et heureusement. Comment lui expliquer que cette fois nous voulions une chambre unique ?De retour dans la chambre 127, nous nous sommes réinstallés. On se serait cru revenus une semaine en arrière si ce n’est que nous n’étions plus tout à fait les mêmes. Les collègues distants s’étaient transformés en amants fougueux.Tout en vaquant à nos affaires, je ne manquais pas une occasion de coller un bisou dans le cou de Caroline à chaque fois qu’elle passait à ma portée. Parfois j’en profitais pour tâter ses muscles fessiers à travers le jean ...