1. Seul ce soir


    Datte: 21/07/2019, Catégories: fh, frousses, ascenseur, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, nopéné, coupfoudr,

    ... grâce à ses talons sans doute. J’ai toujours eu du mal à juger de la taille réelle des femmes lorsqu’elles portent ce genre de chaussures. Nous nous dirigeons vers les vestiaires où elle demande à récupérer son manteau. C’est le serveur-reluqueur de tout à l’heure qui le lui apporte. Alors qu’il l’aide à l’enfiler, je vois bien les paluches du jeune homme qui ne peuvent s’empêcher de la peloter. Ce n’était pas très discret d’ailleurs. Malheureusement pour lui, j’emmène Anne-Catherine dehors. Nous nous retrouvons dans la rue, par cette douce nuit de printemps. Tout en marchant, elle se rapproche de moi et plaque une main sur mes fesses. Initiative bienheureuse. La séance de masturbation du restaurant m’avait déjà sérieusement excité, mais là, je dois dire que je suis dans un sale état ! Je l’arrête, la fais pivoter vers moi. Dans le même mouvement, je la colle contre la façade de la première maison. Je dépose mes lèvres sur les siennes. Joue, cou, lobe de l’oreille, bouche. Elle rive sa poitrine contre la mienne. Et elle me lèche plus qu’elle ne m’embrasse. Langoureusement. Je sens sa main descendre vers mon pantalon. Une espèce de déclic se produit dans mon esprit. Je vais « donner », au lieu de tout le temps recevoir. C’est la sensualité qui se dégage de ma partenaire qui me donne cette envie. J’ouvre son manteau pour un peu nous cacher des passants. Elle passe ses bras autour de mon cou. Je glisse une main entre nos deux corps. Remonte vers la poitrine. Plutôt petite, ronde ...
    ... et ferme, à ce que je sens. Au travers du tissu, je lui englobe un sein. À mon tour maintenant de l’embrasser goulûment, tout en continuant mes attouchements. La belle soupire de plus en plus. J’ai les deux mains occupées sur ses rondeurs et mes gestes se font plus rudes. Je presse ses seins, les tords, les triture. Elle ferme les yeux, elle ne s’occupe plus que des sensations que je lui procure, plus rien d’autre n’a d’importance. Elle dépose la tête sur mon épaule. Je continue à l’étreindre. Je joue avec les bouts érigés. Elle gémit et je sens qu’elle est prise de légères crispations. Elle jouit. Debout, dans la rue, sans un bruit, elle jouit. Elle revient à elle, doucement. Son visage est épanoui. Nous reprenons notre marche. Devant un grand immeuble, elle m’arrête. Forme le code qui déclenche l’ouvre-porte. Dans la pénombre, elle m’entraîne vers le fond du hall. Elle me fait ralentir et je vois une petite lumière rouge s’allumer… La patience est délicieuse, sachant ce qu’il y aura au final. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent. À peine entrée, elle pousse sur le bouton du dernier niveau. — Trente-sept secondes me souffle-t-elle. Je ne comprends pas. — Dépêche-toi, tu n’as plus que trente-deux secondes, maintenant, pour me faire jouir. OK. Je capte. C’est le temps qu’il reste pour arriver à mon étage. — Si vite ?— Oui… Masturbe-moi. J’obéis (pour une fois). La jupe est longue, je me débats pour la retrousser. Je n’ai pas trop le temps… je plaque ma main directement sur son ...
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