1. La voisine du troisième


    Datte: 22/07/2019, Catégories: Hardcore, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    (j'ai hésité à découper ce texte en deux parties, car il est plus long que ceux que je poste d'habitude. J'ai pris mon temps pour l'écrire. Prenez le vôtre pour le lire. Très bonne lecture à vous) :::C’était au mois de juillet, aux alentours de minuit. Un mardi soir.J’habitais en centre-ville, dans une ruelle étroite, au deuxième étage d’une maison qui comprenait trois appartements. Il faisait une chaleur à crever et la fenêtre de mon salon était ouverte.J’étais en train de regarder un DVD et, pendant quelques instants, j’ai cru que les gémissements venaient du film, mais je me trompais : ils venaient de la rue. C’était des gémissements de plaisir. Ceux d’une fille qui était en train de se faire sauter.J’ai baissé le son de mon film et me suis approché de la fenêtre. La rue nocturne était déserte et j’ai tendu l’oreille. C’était ma voisine du dessus, ça ne faisait aucun doute. D’autant que j’avais entendu des pas dans l’escalier en début de soirée, puis des rires au-dessus de ma tête.Ma voisine qui se faisait pénétrer.Elle habitait ici depuis deux ou trois mois et je ne la connaissais pas plus que ça. On se saluait quand on se croisait dans l’escalier, c’était tout. Elle devait avoir dans les 25 ans, peut-être moins. Elle avait les cheveux châtain clair, bouclés, mi-longs. Assez grande et plutôt mince, il me semblait. J’aurais été incapable de dire de quelle couleur étaient ses yeux et si elle avait des gros seins ou des petits. Tout ce que je savais, c’était que sa fenêtre ...
    ... était également ouverte et qu’un mec était en train de se la taper à l’étage au-dessus.La maison d’en face était inoccupée. Quatre étages de volets fermés. Les gémissements de ma voisine, assez espacés, se répercutaient contre la façade et me parvenaient clairement.Je me suis mis à bander. Car le timbre de la voix de cette fille me plaisait. Je l’avais déjà noté en la saluant, mais là c’était insoutenable et je me suis mis à l’imaginer à poil, ce que je n’avais jamais fait auparavant.Alors je me suis un peu éloigné de la fenêtre et j’ai sorti ma queue. Je me suis branlé en écoutant cette fille qui avait au moins dix ans de moins que moi et qui devait tout de même bien se douter qu’on l’entendait depuis la rue.Le faisait-elle exprès ?Je me suis laissé dire que oui.Je me suis dit que c’était une salope.A un moment donné, j’ai senti qu’elle allait jouir. Elle poussait des « Oui, oui, oui… oh putain, vas-y, oui… », et je me suis branlé plus rapidement. Je la voyais d’ici se toucher les seins ou se branler le clito tout se faisant bourrer la chatte, et alors j’ai éjaculé. Je n’ai pas pu me retenir. Trois giclées rapprochées qui ont échoué sur le plancher de mon salon.Ensuite, épuisé, vidé, j’ai fermé ma fenêtre et j’ai remonté le son de mon film. Je me suis endormi devant et, le lendemain au réveil, il n’y avait pas de bruit à l’étage au-dessus. Je me suis de nouveau branlé en me remémorant la scène de la nuit.Ce jour-là, j’ai guetté les bruits de pas dans l’escalier, en me disant ...
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