1. La voisine du troisième


    Datte: 22/07/2019, Catégories: Hardcore, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... que si jamais j’en entendais, je sortirais histoire de croiser ma voisine et d’essayer de la regarder un peu plus attentivement. Histoire de me faire une meilleure idée de son physique, du volume de ses nichons et de la forme de son cul. Mais je n’entendis rien, hormis des petits bruits par moment au-dessus de ma tête. Elle était chez elle, apparemment seule.Et je me suis branlé encore, en milieu de journée, en imaginant que je montais la voir pour lui dire :« Je vous ai entendu baiser la nuit dernière. Est-ce que ça vous dirait de recommencer ? »Elle réfléchirait pendant quelques instants, puis elle me répondrait :« D’accord, je veux bien. Entrez. »Puis elle se mettrait à poil en me tournant le dos.J’ai de nouveau éjaculé.En début de soirée, l’idée m’est venue d’un seul coup : il devait bien y avoir moyen de pénétrer dans la maison d’en face, inhabitée, par une cave ou une porte défectueuse. Moyen de monter les étages et de trouver une fenêtre qui donnerait sur celle de ma voisine.Je suis sorti et j’ai tenté d’ouvrir discrètement la porte qui faisait face à la maison où je vivais. Mais elle était fermée comme il faut. Aucun des volets du rez-de-chaussée ne voulut s’ouvrir non plus, alors je fis le tour du pâté de maisons. Et c’est ici que j’ai trouvé une faille : un soupirail démuni de grille, suffisamment large pour qu’un adulte s’y glisse et puisse accéder à la cave.Je suis rentré chez moi et j’ai attendu qu’il fasse bien nuit.Vers 23h, après m’être assuré depuis la rue ...
    ... qu’il y avait de la lumière chez ma voisine et que sa fenêtre était ouverte comme la veille, je me suis dirigé vers mon soupirail. J’avais emmené une lampe de poche et mis des vieilles fringues qui ne craignaient rien.J’avais vu juste : je me suis introduit sans difficulté par le passage rectangulaire situé au niveau du sol, puis j’ai trouvé un meuble où poser mes pieds, allumer ma lampe et sauter au sol. Je n’ai pas tardé à découvrir l’escalier qui menait au rez-de-chaussée, ni celui qui grimpait aux étages.Le lieu était silencieux et toutes les pièces que je vis en montant étaient vides. Je n’ai même pas croisé un chat errant ou une souris.Et ce que je vis par l’interstice des volets du troisième étage, c’est-à-dire pile au niveau de l’appartement de ma voisine, me fit bander instantanément : elle faisait les cent pas dans une pièce en discutant au téléphone. Elle portait un débardeur couleur de miel, à fines bretelles, mais pas de culotte. J’ai ainsi vu sa chatte, puis son cul, au fil des va-et-vient qu’elle faisait.J’avais éteint ma lampe avant d’entrer dans cette pièce, puis ouvert le plus discrètement possible la fenêtre qui avait résisté un peu. J’ai sorti ma queue, le front collé au bois d’un volet, pour bien mater la chatte et le cul de ma voisine, et je me suis branlé.Son cul était très ferme et sa chatte épilée, mais pas complètement lisse. Ce qui restait de toison dessinait une ligne étroite qui naissait de ses lèvres.Je chuchotais :« Salope, tu t’es bien faite ...
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