1. Tête à tête


    Datte: 22/07/2019, Catégories: ff, fplusag,

    ... sais bien que non ! Tu es très… désirable… mais stoppe… n’avance plus ! Faisant un dernier pas en avant, la jeune fille entra en contact avec les mains de Lilian qui tentaient de la repousser… Ambre : — Humm ! Tu n’aurais pas dû laisser tes mains là. Ou, l’aurais-tu fais sciemment ? Lilian : — Tu l’as fait exprès ! Tes seinsdressés se sont jetés sur mes mains. Ambre : — C’est ça ! Dis-moi aussi qu’ils sont tombés du camion… Comme Lilian s’apprêtait à retirer ses mains, l’enlaçant avec force, Ambre, se colla tout contre elle. Telle une érection normale qu’un homme ferait sentir à sa conquête tout en dansant un slow, le sexe factice se logea, en sandwich entre leurs deux corps soudés. La tentation sembla trop forte, Ambre avait choisi le meilleur des arguments, celui à qui Lilian était incapable de dire non, d’autant plus que la fermeté des seins, les tétons dressés brûlant la paume de ses mains, faisaient fondre toutes les bonnes résolutions de la femme. Sentant un coup de rein contre son pubis, loin de repousser l’effrontée, ses mains encore ouvertes agrippèrent finalement les seins offerts, les serrant fortement, les malaxant. Mais, elle la supplia : — Non, non…pas ici… Deux derniers mots fatidiques qui ne pouvaient être sujet à une fausse interprétation. Ils exprimaient sa capitulation ! Les entendant, les lèvres puis la langue d’Ambre, empêchèrent la bouche de la femme d’exprimer une nouvelle parole. Tout de suite, le baiser fut réciproque et ne fut interrompu qu’au ...
    ... bout de longues minutes à l’initiative de la jeune fille alors que sa proie avait abandonné ses seins pour s’emparer de ses fesses rebondies. Ambre comprit qu’il s’agissait enfin d’un non retour. Lilian ne reviendrait plus en arrière, le désir lui coulait dans les veines à l’image des humidités dans les interstices de leurs propres sexes. Elle la prit par la main et l’attira dans sa chambre tout en lui chuchotant : — Ne t’en fais pas, il est à peine 10h00, elles sont encore loin de se réveiller comme d’habitude… Au pire des cas, je verrouille toujours ma chambre, personne ne peut s’en inquiéter. Ni l’une ni l’autre ne viendra me déranger pensant que moi aussi je fais la grasse matinée. Quant à toi, elles penseront que tu es encore au footing. Dans une telle improbable éventualité, j’attirerai alors leur attention ailleurs et tu pourras sortir facilement. Mais pour elles, se réveiller avant 13h, comme tu sais, est invraisemblable. On n’a donc rien à craindre, sauf tes cris que je bâillonnerai de ma bouche. Ma belle-maman, dis-moi que je suis ta Bilitis… Lilian : (se dénudant) — Ce que tu voudras, mais prends-moi, aime-moi, ma Bilitis, mon hermaphrodite ! Tu es diaboliquement belle, plus encore que ta mère tu me rends folle… Ambre : (d’une adorable ironie) — Après ta victoire du 1000m, tu vois que la journée n’était pas terminée, à mon tour je t’ai gagnée. Tu es ma récompense… Et après tout, ne restons-nous pas fidèle à la famille ? *** (Toujours la suite si lecteurs assidus et ...