1. La prison


    Datte: 23/07/2019, Catégories: fh, frousses, grosseins, Transexuels pénétratio, sf,

    ... d’éviter ceux qui frappaient mon visage, mon ventre ou mon entrejambe, mais d’autres semblaient les remplacer, et je n’avais pas assez de mes deux mains pour protéger tout mon corps. J’avais du mal à respirer tant l’eau était partout. Je me recroquevillai, agenouillé, mais ce fut presque pire, et je finis par me jeter de côté, pour échapper aux jets, qui s’arrêtèrent aussitôt. — Au centre ! Me redressant, je me frottai les yeux, cherchant un instant une utopique échappatoire. Je grelottais. — Au centre, vite ! Je revins me positionner au-dessus de la bonde, crispé, prêt à recevoir de nouveau les jets infernaux. Mais ce fut un liquide visqueux qui me tomba soudain sur la tête et sur les épaules, accompagné d’un parfum agréable. Du savon. — Frotte ! Fort ! Partout ! Je m’exécutai, me lavant avec plaisir, nettoyant chaque recoin de mon corps, effaçant les odeurs et la crasse que j’avais accumulées depuis que j’étais entré dans cette horrible prison. Mais les pénibles jets d’eau à haute pression se déclenchèrent soudain de nouveau, et je luttai pour ne pas suffoquer en me rinçant. Ils furent assez vite remplacés par des jets d’air propulsés sur moi avec une pression plus forte encore, sans doute dans le but de me sécher. Si je n’avais plus la moindre difficulté à respirer, la douleur devenait, elle, franchement insupportable. Heureusement, cela cessa bientôt, et, parfaitement propre et globalement sec, je pus aller reprendre mes vêtements. Je ne m’en étais pas rendu compte ...
    ... pendant mon « lessivage », mais ils avaient disparu, et réapparurent juste à l’instant où je voulus m’en approcher. Ils étaient très chauds et soigneusement pliés, et sentaient bon ; sans doute avaient-ils aussi subi un lavage rapide, ou un nettoyage à sec. — Rhabille-toi, et remets la chaîne ! Elles ne m’ouvrirent la porte que lorsque j’eus refermé le lourd verrou autour de mes chevilles. — Il donne presque envie, comme ça, le dégénéré, tu ne trouves pas ?— Je le préférais à poil… mais c’est vrai que pour un dégénéré…— Pense à ces filles de la haute qui vont jouer avec lui…— Ouais, et cette aristo, tout à l’heure, tu as vu ? À nous montrer ses seins, comme ça…— Elle m’a bien excitée, cette petite ! Et maintenant, celui-ci… Je crois que je me le…— Non, pas touche ! Sinon, adieu le fric.— N’empêche, être prête à payer autant juste pour ce minable, ça craint !— Allez, amène-toi, le dégénéré ! On t’emmène ! *** Je reconnus sans peine l’immeuble dans lequel me conduisirent les trois surveillantes qui m’avaient escorté sous chaîne et menottes à travers les ruelles de la ville. Dans le hall, l’une de mes gardiennes appuya sur une sonnette et une voix retentit soudain : — Oui ?— Unité de surveillance de la prison de Tal-Mania, nous venons pour une liv…— Vous êtes en retard ! Vingt-septième étage, je vous attendrai. Elles m’entraînèrent jusqu’à l’ascenseur. — Hmmm… pas commode, l’aristo…— Ouais, sont bien toutes les mêmes.— Pourtant tu l’aurais vue, tout à l’heure, quand elle nous a montré ...
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