1. La prison


    Datte: 23/07/2019, Catégories: fh, frousses, grosseins, Transexuels pénétratio, sf,

    ... son médaillon…— Eh bien, qu’est-ce qu’elle avait ?— Bah attends, tu vas voir… Mais ce n’était pas Alys qui nous attendait devant l’ascenseur, mais la véritable Heline de Gofarn, le visage fermé d’un air sévère, et une étrange lanière à la main. Deux des surveillantes s’agitèrent en l’apercevant et l’une leva son arme. — Qui êtes-vous ?— Dame Heline de Gofarn. Voici mon médaillon, vous pouvez vérifier.— Quoi ? Mais…— C’est ma servante que vous avez vue tout à l’heure. Il est hors de question que je mette les pieds dans une prison pour dégénérés. Suivez-moi. Les surveillantes maugréèrent à voix basse en emboîtant son pas jusqu’à l’entrée de son appartement. — Mais qu’est-ce que tu as foutu avec l’autre ? Tu aurais dû vérifier !— Ben j’ai fait comme toi, j’ai regardé ses seins !— On va se faire engueuler, c’est sûr !— Ben vérifie au moins celle-ci, maintenant.— Voilà, c’est ici, trancha Heline, sans toujours le moindre regard pour moi. L’une des gardiennes sortit un répertoire qu’elle consulta rapidement. — Vous permettez que l’on vérifie votre identité, madame ?— Je vous en prie, faites… soupira la maîtresse des lieux avec un agacement non dissimulé. Et après des vérifications de taille, de couleur d’yeux, de forme du visage, d’empreinte du tatouage qu’elles appelaient médaillon, je fus abandonné pour quelque temps : — Le prisonnier est à vous, Madame.— Merci.— Attention, il est dangereux. Vous êtes sûre que ça va aller ?— Nous avons prévu ce qu’il faut pour le faire obéir. ...
    ... Elle passa autour de ma tête un nœud coulant de la lanière qu’elle tenait, et le serra fort ; et je me pris soudain une décharge électrique qui m’arracha un cri de douleur. J’aperçus, au bout de la laisse noire, un petit boîtier que la femme avait gardé en main. — Très bien, voici les clés de ses liens. À quelle heure devons-nous revenir le chercher ?— Demain à midi.— Comme vous voudrez.— Parfait, à demain. *** — Tiens, le voilà, ton dégénéré ! jeta négligemment Dame Heline en me poussant vivement dans la grande salle principale de son immense appartement.— Oh, merci ! Merci, Madame ! Alys se précipita vers moi et me prit dans ses bras, m’étouffant de baisers. — Voici la clé de ses menottes, et celle de sa chaîne. Je te le laisse une heure. Ensuite, il sera à moi pour la soirée… Je la dévisageai avec inquiétude, mais elle ne me lança toujours pas le moindre regard, et s’éloigna vers une pièce voisine, tandis que sa servante ôtait la lanière qui ceignait mon cou et déverrouillait la chaîne et les bracelets métalliques qui me retenaient prisonnier. Dès que je fus libre, je la serrai contre moi, heureux de la retrouver, tout autant que d’entrevoir une issue possible à ma détention en prison. La merveilleuse rouquine m’emmena à l’étage, et me guida jusqu’à une chambre que je devinais être la sienne. Elle ferma la porte et me jeta en arrière sur le lit, puis se déshabilla en quelques gestes et se précipita sur moi pour m’enjamber. — Hmmm ! Tu sens bon, susurra-t-elle en frottant de ...