1. Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. II


    Datte: 23/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    FATALISME DEUX Tout d’abord, je voudrais remercier les membres de cette communauté. Je ne pensais pas que mon texte trouverait un accueil si favorable et compréhensif. Je voudrais simplement préciser que si je ne réponds pas à vos messages de sympathie, ce n’est pas par manque d’égard mais simplement parce que je ne suis pas encore prêt et que je suis d’une timidité maladive par rapport à mon statut de cocu. Je vous prie de ne pas m’en vouloir. Dernier point il n’a pas de sexe dans cette partie parce qu’au début comme t’es pas là, tu ne peux pas savoir ce qu’elle fait avec son amant. C’est aussi cela la réalité du cocufiage. La majorité d’entre vous me demande une suite mais peut-être faut-il un début. J’ai beaucoup lu d’histoires de cocus, consentants ou pas. La majorité de ces histoires ne sont que fantasmes ou souhait de vivre cette situation sans franchir réellement le pas. Se retrouver cocu peut arriver à tout le monde. Ne pas le savoir ou faire semblant de ne pas le savoir est une chose, l’apprendre et apprendre à vivre avec en est une autre. L’accepter n’est jamais facile. Ce qui nous sauve nous les cocus chroniques c’est l’habitude car on s’habitue à tout. Même à être cocu. Vous connaissez l’adage : On a toujours le choix, et nous sommes la somme de ces choix. Moi je ne me doutais de rien et j’avais une confiance absolue envers Margot. C’est simple je n’y avais même jamais pensé. A l’époque de la découverte de mon cocufiage, nous avions 35 ans les deux et formions un ...
    ... beau couple. Un couple harmonieux comme nous définissaient nos amis et notre famille. Je bossais comme un fou, tout le temps en déplacement aux quatre coins de la France, car nous avions décidé que Margot ne travaillerait plus, pour se consacrer à l’éducation de nos deux enfants. Bref la vie d’un couple moyen dans une banlieue de la région parisienne. Dernier point Margot et une petite bonne femme mignonne, vraie blonde, très mince avec une belle poitrine et des jambes magnifiques. Et sans vouloir être vaniteux on me dit pas mal non plus même si j’ai un gabarit crevette. Maintenant place au ridicule (il parait qu’il ne tue pas), j’ai appris que j’étais cocu en mangeant une saucisse-frites à une fête foraine. Oui vous avez bien lu. Un “beauf” en train de manger une saucisse-frite en regardant d’un air béat sa femme jouer avec ses enfants sur un manège. Plus con tu ne peux pas et pourtant c’est la stricte vérité. Il y avait les musiques des différentes attractions, plein de monde, et derrière moi, trois jeunes gens en train de taper sur un poing de boxeur pour mesurer leur force. Jeunes par rapport à moi. Ils devaient avoir dans les 25/30 ans. Des beaux gars genres racailles de banlieue, surs d’eux, de leur avenir. Le genre de jeunes qu’il ne faut pas trop emmerder. De ceux qu’on évite de croiser le soir. Trois blacks en train de parler entre eux alors que le manège pour les mômes diffuse sa musique: - Eh Kemb, c’est pas Margot la bas. - Ouais c’est elle - On y va Kemb pour se ...
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