1. Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. II


    Datte: 23/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... part ses amies. Au lit, j’étais déplorable. Elle ne comprenait rien. Je lui ai dit que j’avais de gros soucis au boulot. Elle y a cru. Au bout de deux mois, j’ai été convaincu que ce que j’avais entendu à la fête foraine ne pouvait pas concerner Margot et que je devais me faire pardonner. Le jeudi je téléphonais à mes parents pour leur proposer de garder les enfants tout le W.E. Bien entendu, ils étaient heureux comme tout d’avoir les bouts-de-choux quarante-huit heures. Vendredi soir j’invitais ma femme au restaurant. - Et les enfants Didou? - Chez mes parents - C’est vrai - Oui chérie. Fais-toi belle. Allongé sur le lit je la regardais se maquiller en slip et soutien-gorge. Elle était magnifique. Elle a enfilé par la tête une robe légère qui lui arrivait bien au-dessus du genou. - On voit un peu ta culotte chérie. - Zut... Les autres sont encore plus sombres. - N’en mets pas. Elle me dévisageât les yeux ronds - T’es fou Didou ! - Pourquoi on l’a déjà fait. Vas-y fais le. - T’es malade à nos âges voyons… Tiens tu m'excites à parler de ça… Oh et puis zut! Ma femme a passé ses mains sous la jupe en se tortillant et a baissé sa culotte pour me la jeter. - Voilà! t’es content ? J’ai porté le fin tissu à mes narines. Il était déjà imprégné de ses odeurs intimes. Terriblement bandant ! - Super ma douce. Nous sommes sortis à pieds pour aller au centre-ville. - Je sens l’air sur mon sexe Didou. Le patron nous a donné un coin tranquille. Nous avons mangé et je l’ai courtisé comme ...
    ... au début de notre relation. Le moment était magique, comme suspendu. Nous étions un couple d’amoureux. Brusquement elle a pâlit en regardant la salle. - Salut Margot La moitié des clients se sont tournés vers le grand noir qui se précipitait vers notre table pour s'asseoir sans aucun formalisme à coté de ma femme. - Bonsoir vous êtes André je parie. Moi c’est François je bosse avec Margot à l’association. Il est grand couleur caramel foncé... Beau... Très beau... Du muscle du charisme de la joie de vivre, et surtout un coté prédateur dans son regard. Etait-ce un des jeunes de la fête foraine ? Je ne saurais le dire. Sans se gêner il a enlacé ma femme pour lui faire deux grosses bises sur les joues, presque à la commissure des lèvres. Elle a laissé faire sans rien dire. - Je peux prendre le dessert avec vous? - Oui... Oui... Il a parlé de lui tout le temps mais moi ce que je voyais c’est sa main qui très souvent passait sous la table et le visage crispé de ma femme. Bien sûr j’ai compris ce qu’il faisait je pouvais juste voir la robe de Margot et les plis bien hauts. A un moment elle s’est levée pour aller se rafraîchir. Trente secondes après François m’a dit: - Excusez-moi André, je dois aller dire un truc au patron pour qu’il finance l’association. - Allez-y. Pas de problème, je comprends. - Je serais pas long. Mais appelez-moi Kemb. Mon vrai nom c’est François Kembéhé’lé de Baptiste. Mais mes amis disent Kemb. Il s’est dirigé vers le bar. Mais j’ai fait exprès de faire ...