BONNE À TOUT FAIRE
Datte: 24/07/2019,
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Dans la zone rouge,
... enfant?" Me caressant le menton maintenant, descendant graduellement le long de mon cou vers le haut de mes seins et l'échancrure de ma chemisette. "Tu es, j'en suis certain, très dévoué à ton maître, n'est-ce pas ma chère enfant? Je peux le voir." Il a dit ça en écartant ma chemisette avec son index pour regarder mes seins. J'ai de très beaux seins, gros, ronds et laiteux qui plaisent aux garçons. Je respirais si fort que je haletais comme un jeune chien. "Oui monsieur, je ferais tout pour vous être agréable." Même si j'avais la frousse, j'aimais ce sentiment d'être convoitée, soumise au désir du maître, et j'avais des picotements dans ma culotte. Il se pencha si près de moi pour murmurer que son souffle déposa de la buée dans les plis du pavillon de mon oreille. Un instant, j'ai espéré qu'il m'embrasse, mais il se contenta de chuchoter: "Rendez-vous sur l'escalier de service, après que tout le monde se soit couché pour la nuit. Vous m'aiderez si bien, ma chère petite fille." Je voulais bien être sa fille, mais pas sa douce fille. Je voulais être sa très vilaine fille, la fièvre de mes reins me rendait lascive. Vers 3 heures du matin, j'attendais le maître. Dans les escaliers de service, il y avait un recoin pour le rangement. J’avais toujours trouvé cette alcôve très bizarre, mais à ce moment-là, sa commodité devenait bien évidente. Je portais seulement une ample chemise de nuit assez courte, mes seins dansaient librement et ma chatte nue et humide frissonnais sous le ...
... frais courant d'air. Après une courte attente j'ai reconnu son pas lourd, malgré ses pantoufles. Il est venu vers moi dans un élan fougueux. Me repoussant dans l'alcôve, m'emprisonnant dans ses bras puissants, je me sentais complètement isolée du reste de la maison. Il m'embrassait tendrement dans le cou et mon ventre fourmillait de papillons. Sa main pressait si fort mon mamelon, presque rageusement. Je me suis demandé depuis combien de temps durait son abstinence. Le manque de sexe faisait du maître un homme dans le besoin. Il me fit pivoter rapidement et mon visage fut plaqué contre les étagères, je soulevais un peu ma chemise de nuit pour que mon cul nu soit exposé à sa vue et je le sentis contre moi en une fraction de seconde. Il s'est plaqué contre mon dos et j'ai senti sa queue frotter contre mes fesses. J'ai immédiatement pensé que je n'avais jamais connu une plus grande chose, ni une envie aussi impérieuse. Je n'avais jamais rien ressenti de tel. Si grosse, mais je voulais tout prendre. "Tu es une si bonne petite fille, je veux te récompenser, peux-tu sentir mon cadeau, c'est tout pour toi, tu le veux?" "Je le veux" ai-je répondu si rapidement qu'il a dû penser que j'étais plus impatiente que lui "donnez-le-moi, s'il vous plaît, monsieur. Je le veux en moi." J'ai été surprise moi-même par l'audace de mon comportement. À force de regarder agir ces filles dans la ruelle, je dois avoir appris quelque chose d'elles. "Hum, je dois d'abord m'assurer que tu es prête pour moi." ...