1. Séminaire et autre divertissement


    Datte: 24/07/2019, Catégories: fhh, extracon, cocus, Collègues / Travail bus, facial, Oral

    Je suis business-manager dans une grande boîte d’informatique américaine. Chaque année, notre boss organise un grand séminaire dans un lieu de tourisme haut de gamme auquel tous les business-managers européens sont conviés avec leur conjoint. Il s’agit toujours d’un moment de détente pour ma femme Sabine qui, durant ces quelques jours, oublie son boulot et les contraintes de notre vie de famille. Les enfants sont pris en charge par les grands-parents et c’est l’esprit libre que nous partons. Durant nos ateliers de travail, les conjoints sont invités à profiter de la piscine, se promener et découvrir des curiosités. Nous étions ainsi, il y a moins d’une semaine, sur l’île de Madère, installés dans un luxueux hôtel en front de mer. Chaque séminaire est ponctué par un dîner de prestige. Soirée durant laquelle, habillés de tenues élégantes, nous sommes accueillis dans un restaurant de grande renommée pour la dégustation d’un grand repas. Ce séminaire n’échappait pas à la règle. Le soir de la deuxième journée de travail, l’organisateur du séminaire nous a tous fait monter en car pour rejoindre la Marina de Funchal. Ce soir-là, le ciel était noir et, contrairement au début de notre séjour, la pluie menaçait fortement. Descendus du car, nous avons assez vite pénétrés dans le restaurant pour éviter la pluie de plus en plus prévisible. Nous étions une bonne trentaine, les messieurs classiquement vêtus de costumes impeccables et de cravates plus ou moins assorties. Les femmes ...
    ... n’avaient pas hésité à sortir des robes sexy et élégantes à la fois. Sabine avait opté pour une robe légère à bretelles de couleur rouge. Elle dévoilàit ses belles épaules, le haut de son dos musclé et l’ébauche de ses seins. Plus bas, la robe s’arrêtait sobrement au-dessus des genoux. Ses cheveux châtain flottaient sur sa nuque et sa démarche aérienne la rendaient toujours aussi désirable à mes yeux. Alors que l’orage continuait de menacer, nous avons entamé l’apéritif, échangeant des banalités avec les convives sur un ton rieur. Peu de temps avant de s’attabler pour le début du dîner, Sabine me dit qu’elle craignait d’avoir froid et qu’elle retournait rapidement au car pour récupérer l’écharpe qu’elle y avait laissée. À peine avait-elle quitté la pièce que l’orage s’abattit violemment sur la Marina. Je me suis rapproché de la porte pour essayer de la voir. J’apercevais à peine le car, garé à quelques dizaines de mètres, tellement la pluie était intense. Je me suis dit qu’elle était probablement réfugiée dans le car. Nous sommes passés à table, la pluie tombait toujours très fort. La chaise à côté de moi restait vide. J’avais essayé de l’appeler sur son téléphone portable, sans réponse. La pluie continua ainsi plus de quarante minutes. C’était un vrai déluge, accompagné d’éclairs zébrant les murs de lumière et de bruyants coups de tonnerre. J’avais essayé de nouveau de téléphoner, toujours sans succès. Je mettais ça sur le compte de l’orage. La pluie se ralentit progressivement ...
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