Séminaire et autre divertissement
Datte: 24/07/2019,
Catégories:
fhh,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
bus,
facial,
Oral
... jusqu’à s’interrompre enfin et un rayon de soleil couchant vint lécher le plafond du restaurant. Traversant ce rayon, Sabine apparut. Elle avait pris la pluie, vu la liberté de ses superbes cheveux et quelques gouttes d’eau s’écoulait encore sur ses épaules. Elle avait l’air un peu ailleurs, comme sonnée par la brutalité de la tempête qui venait de s’abattre sur Funchal. Je l’interrogeai immédiatement pour savoir où elle était. Elle me répondit qu’elle était réfugiée dans le bus sans moyen d’en sortir. Et qu’elle avait attendu là. Je la trouvais un peu distante et préoccupée. Le dîner se déroula ensuite sans autre surprise. Le poisson servi était merveilleux de fraîcheur et de saveur. Le dessert de mangue et de grenade fut tout autant exquis. Le repas fini, nous avons tous rejoint le car pour reprendre le chemin de l’hôtel. Sabine était toujours aussi mystérieusement absente depuis son retour dans la salle de restaurant. Durant le trajet, je l’interrogeai de nouveau. À voix très basse, pour n’être entendue de personne, elle me donna enfin quelques éléments : — Il m’est arrivé quelque chose de spécial dans le car tout à l’heure. Je ne peux pas te dire tout de suite, je t’en parlerai plus tard. J’étais très intrigué par cette demi-confession. De quoi pouvait-il s’agir ? J’avais remarqué qu’en me parlant, elle avait instinctivement placé ses mains entre ses cuisses qu’elle avait resserrées très fort. Après avoir souhaité une bonne nuit aux collègues à la descente du car, nous ...
... sommes montés à la chambre. J’étais très impatient d’apprendre la teneur des événements qui s’étaient tenus dans le car. Malgré mon insistance, Sabine prit le temps de passer à la salle de bains pour prendre une douche que je trouvais bien longue. À la suite de quoi, elle ouvrit le minibar pour se servir un Coca. Tout ceci, toujours sans prononcer le moindre mot. J’étais assis sur le lit, en train de feuilleter un magazine auquel je ne prêtais aucune attention. J’attendais que Sabine se décide à m’en dire plus. À son tour, elle s’assit sur le lit, releva l’oreiller et s’adossa à la tête de lit. Je ne le savais pas encore mais ce qu’elle s’apprêtait à me dire allait profondément modifier ma perception d’elle. — Marc, quand je suis allée chercher mon écharpe dans le car, tu te souviens, la pluie s’est mise à tomber très brutalement.— Tu parles si je m’en souviens. Je t’ai attendue presque une heure après. Tu ne répondais pas au téléphone.— À quelques mètres d’arrivée au bus, la pluie s’est abattue brusquement et j’ai été instantanément trempée. J’ai couru vers le bus et j’ai sauté à l’intérieur. Heureusement la porte était ouverte. Je dégoulinais d’eau. Ma robe était transpercée d’eau. Après m’être un peu secouée pour me débarrasser de l’eau, je me suis rendue compte que je n’étais pas seule dans le bus. Jaime, l’organisateur et le chauffeur étaient tranquillement installés au fond du car en train de manger des sandwiches en buvant des bières. J’étais très surprise de les voir et ...