1. Quand un rat d'hôtel joue les bons samaritains


    Datte: 24/07/2019, Catégories: fh, fplusag, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, bourge,

    ... accélération. Attentif, il se plia à ses désirs. Le rythme s’affola, elle passa les jambes dans son dos et le plaqua contre elle. Elle jouit rapidement et bruyamment en frottant le clito de bas en haut contre son ventre. Quelques secondes plus tard, son corps se relâcha totalement. — Merci, merci, répéta-t-elle en lui couvrant le visage de baisers. J’avais tellement peur !— De moi ?— Non, pas de toi. Mais peur que ce malade m’ait détruite… Changeant brusquement de sujet : — Mais, tu n‘as pas joui ? Tu bandes fort, mon ami. Entièrement concentré sur le comportement de Claire, il n’avait à aucun moment pensé à son plaisir et son excitation n’avait jamais atteint la zone de non-retour. — Je ne peux pas te laisser comme ça ! Elle le repoussa. Il se retrouva sur le dos. Alors, elle le chevaucha, s’empalant sur son dard dressé et entreprit de l’amener au septième ciel. Ce qui ne lui causa guère de difficulté. Après un dernier câlin, J.-P. se leva, commença à se rhabiller, mais… — S’il te plaît, mon bel étalon, ne m’abandonne pas ! déclama-t-elle théâtralement. Malgré le ton badin qu’elle employa, il pouvait sentir son désarroi, sa peur. Il se rassit sur le lit. — Ça ne va pas ?— Ben si qu’est-ce que tu… Non, j’ai peur. Je ne veux pas passer la nuit seule. Quand je ferme les yeux, je vois… Il la fit taire en lui posant un doigt sur la bouche. — Pas de problème, belle dame ! Je n’ai rien d’autre à faire, ...
    ... plaisanta-t-il. Mais j’avais peur de déranger. Et puis votre réputation… ************** Ce fut une longue nuit. Malgré ou à cause des épreuves de la journée, Claire dormit très mal, remua beaucoup, se réveilla plusieurs fois en criant ou pleurant. Il joua les consolateurs. Le matin au réveil, la Canadienne avait retrouvé allant et autorité. Après un solide breakfast et une étreinte câline et matinale, elle le congédia. Ce n’est pas le bon mot, car elle usa d’une terminologie plus pédagogique. Elle le remercia pour TOUT ce qu’il avait fait et lui remit une mallette et sa carte de visite avec seulement un numéro de téléphone. La mallette, c’était pour lui permettre de reprendre sa vie en main : elle contenait 100 000 € en coupure de 100 et 200. Le numéro de téléphone était s’il avait un problème. Elle avait une dette envers lui et rien ne pourrait l’effacer. Le lendemain de leur aventure, il avait lu dans Nice-Matin qu’un jeune Italien, Michele Pesenti, avait perdu le contrôle de sa voiture sur la corniche et avait trouvé la mort. À la seconde, il avait décidé qu’il ne voulait plus avoir à faire avec madame Bouchard et, de retour dans son « terroir », il avait déchiré la carte et l’avait regardée brûler dans son poêle. Heureusement, se dit-il, qu’il ne lui avait donné aucune indication sur sa localisation. Sauf que… trois mois plus tard, il recevait une demande de la part du plus grand importateur de vin canadien… 
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