1. Quand un rat d'hôtel joue les bons samaritains


    Datte: 24/07/2019, Catégories: fh, fplusag, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, bourge,

    ... chambre 512. La porte passée, l’attitude de Claire changea du tout au tout. Son assurance disparut. Elle restait plantée dans l’entrée, serrant convulsivement sa pochette entre ses doigts. Il devinait les images qui défilaient dans sa tête. Avec une délicatesse qui l’étonna lui-même, il la prit dans ses bras, l’embrassa. Lâchant sa pochette, elle répondit à son baiser, mais elle demeurait raide comme la justice. Son corps n’était qu’un nœud. Il le sentit, se détacha d’elle. — Vous savez, Claire, on n’est pas obligés !— Si ! Si ! Reste ! S’il te plaît ! Elle le conduisit à sa chambre. Il la déshabilla avec précaution, mais elle restait sans réaction. Claire maîtrisait sa respiration sans pouvoir dissimuler ni la crainte dans ses yeux ni la crispation de son corps. Il savait que des massages pourraient la détendre : il n’avait rien d’un masseur. Lorsqu’il zippa sa robe, les marbrures sur son cou provoquées par son agression apparurent. Il les baisa tendrement prenant tout son temps pour découvrir sa généreuse poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge : une espèce de rehausseur transparent soutenait ses seins sans les cacher. Ses tétons qu’il avait admirés quand il la matait du fond de son réduit la jouaient profil bas. Il avait l’impression de caresser un mannequin de cire. La robe glissant sur ses chevilles, elle daigna soulever les pieds pour qu’il l’ôte complètement. Elle se tenait devant lui, immobile, vêtue de talons hauts et d’une mini culotte qui ne cachait pas ...
    ... grand-chose. Il faillit une fois de plus s’arrêter, mais… il enleva ses boots. — Claire, pourriez-vous me déshabiller ? Ces mots semblèrent la sortir de son inertie. Elle le déshabilla presque entièrement, le laissant en boxer, osant au passage un timide caresse sur son pénis qui, à cette seconde, ne manifestait guère d’excitation. Lorsqu’elle se redressa, elle se blottit de nouveau contre lui. Il perçut un léger relâchement dans l’attitude de sa partenaire. Il la souleva et la porta jusqu’au lit et l’allongea sur le dos avant de s’installer à ses côtés. Il reprit ses baisers, ses caresses tout en écoutant les réactions de sa partenaire. Il la câlina ainsi un long moment. Peu à peu, elle s’alanguissait, sa respiration s’apaisait. Quand celle-ci s’accéléra, il s’attaqua alors à la mini-culotte qu’il abaissa progressivement découvrant un mont de Vénus étonnant : sa toison artistiquement taillée en feuille d’érable. Elle avait dû passer entre les mains d’unpussydresser. Il semblait que c’était très mode en Amérique du Nord : il avait vu un reportage sur FR3 Bourgogne. De la pulpe de l’index, tout en léchouillant les tétons qui s’animaient, il massa la tête du petit encapuchonné qui durcit et se redressa. Quand d’elle-même, elle desserra ses cuisses, lui présentant un sexe aux grandes lèvres minimalistes. Quand sa vulve s’entrouvrit, il s’en échappa une goutte de mouille. Délaissant la poitrine, il chercha son regard. La lueur d’inquiétude qui l’avait habitée avait disparu, remplacée ...