Quand un rat d'hôtel joue les bons samaritains
Datte: 24/07/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
bourge,
... voir. Sauf que ce n’était pas un film, mais deux personnes réelles, concrètes juste derrière la porte et l’idée de ces deux corps probablement nus ou pas loin l’excitait. Surtout que madame Bouchard prenait plaisir à commenter ce qu’elle voyait, ce qu’elle faisait. — Oh cette queue, chéri-chéri… Et elle grossit encore quand je la prends dans la main. Comme elle devient dure. T’sais que mes doigts arrivent p’us à en faire le tour.— C’est pour mieux défoncer ton gros cul d’Américaine. Quel mufle ! Qualifier le postérieur de la Canadienne de « gros cul » alors que cette partie d’son anatomie, moulée par son legging lorsqu’elle runnait, montrait toute autre chose. — Tu aimes quand je te suce les tétons, te les mordille, chéri-chéri ? Un silence… le souffle de l’homme qui enfle. La bite de Philou, aussi, dans son jogging noir. — Si j’en juge à la réaction de Dick, tu aimes. Pas un poil, chéri- chéri. J’aime, c’est tout doux. Mais pourquoi ?— Je déteste laisser mes poils n’importe tout. À genoux, femme, et suce !— Tabarnak ! Quelle autorité ! J’love ! Un bruit. La femme avait dû s’agenouiller. Le silence s’installa seulement troublé par les soupirs de l’homme et quelques bruits de succion. La dame, en femme bien élevée, ne parlait pas la bouche pleine. Ce bruitage évocateur et la disparition des commentaires ajoutèrent à l’émoi de Philou, il n’y tint plus. Sûr qu’ils étaient trop occupés pour remarquer sa présence, il entrebâilla précautionneusement la porte de son réduit. Coup ...
... de chance, il avait le lit juste dans son angle de vue et devant le lit, le couple de trois quarts. Comme il l’avait supposé, madame Bouchard… vu le degré d’intimité qu’ils avaient atteint, il pouvait sans doute se permettre de l’appeler Claire. Donc Claire, agenouillée, tentait tant bien que mal d’absorber la queue de son partenaire. Tant bien que mal, car la taille de l’engin imposait le respect. S’il était d’une longueur banale, le diamètre en était impressionnant et comme il l’avait remarqué lors de sa surveillance, la bouche de Claire n’avait pas la capacité d’accueil d’une bouche à la Béatrice Dalle, pas une bouche à tailler des pipes. Pourtant, les lèvres collées à leur cible, elle s’appliquait. Elle parvint au prix d’un effort sur elle-même et d’une double poussée, main et bouche, de son Roméo de banlieue d’absorber le gland violacé. Roméo de banlieue en effet. Guère plus de vingt ans, beau mâle, grand, bien proportionné, visage d’un dieu latin, mais avec une mollesse qui dénotait sa vulgarité, sa veulerie. L’absence de poil remarquée par la Canadienne lui sauta aux yeux : non seulement Roméo avait le crâne rasé, mais il avait certainement subi une épilation intégrale. Bien qu’il ne vit pas les fesses, il supposa qu’elles avaient subi le même sort. Par contre il se rinçait l’œil avec celles de Claire. Madame avait pris soin de son corps : pas une once de graisse, pas la moindre trace de cellulite, pas la moindre discordance. Une seconde, il souhaita être à la place de ...