Quand un rat d'hôtel joue les bons samaritains
Datte: 24/07/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
bourge,
... comme un singe ! Le singe n’apprécia pas. Il chevaucha sa partenaire mécontente, plaça les mains autour de son cou et serra. Elle tenta de se dégager, en vain, il était trop fort. — Achale-moi p’us ! Ce n’est pas drôle. Tu me fais ma… Le dernier mot se perdit dans un gargouillis inaudible. Philou réalisa qu’il était en train de l’étrangler. Il n’était pas là en situation régulière, mais il ne pouvait pas laisser faire. Il n’hésita pas. Il avisa une liseuse sur la table de chevet. Il ouvrit brusquement la porte, se précipita sur la lampe et avant que Roméo ne réagisse, il la lui brisa sur le crâne. L’hôtel avait du bon matériel. Roméo s’affaissa sur sa proie, la tête en sang. Philou le fit rouler à terre et retourna la femme. Elle était rouge comme un coquelicot, dans les vapes, mais heureusement, elle respirait. Il n’avait aucune notion de secourisme et c’était la première fois qu’il se trouvait dans une telle situation. Le bouche-à-bouche ? Tentant, mais après ce qu’elle venait de subir… Alors, il fit ce qu’il avait vu faire dans des films : une paire de baffes. Et ça marcha ! La Canadienne cligna des yeux, remua la tête, ouvrit franchement les yeux s’aperçut de sa présence et demanda : — Qu’est-ce qui… puis réalisant : il est parti ?— En quelque sorte…— Comment ça ? Se soulevant difficilement, Claire suivit le regard de Philou qui montrait le corps inanimé. — Il est… ?— Non, je ne crois pas, seulement dans les vapes.— C’est vous qui.. ?— Euh ! Oui !— Il allait me tuer ! ...
... Vous m’avez sauvé la vie. Claire s’était redressée et appuyée au chambranle du lit. Sans doute choquée, elle lui offrait une vue panoramique sur ses charmes. Sa poitrine, il connaissait, mais il découvrait un ventre plat de sportive surmontant une toison brune bien entretenue. Choquée, mais réactive : — Par quel hasard vous trouviez-vous dans ma chambre, jeune homme ?— Euh…— À voir votre uniforme de passe-muraille, n’appartiendrez-vous pas à la gent des cambrioleurs ?— Si peu.— Oublions, vous m’avez sauvé la vie et c’est ce que j’ai de plus précieux. Je ne vous dénoncerai pas… au contraire.— Oui, mais lui ! reprit-il, rasséréné par ces paroles. Il faudrait le livrer à la police. C’est un putain de psychopathe.— Ça, jeune homme, c’est mon affaire. Cette espèce d’enfant de chienne m’a pris pour une valise, il ne va pas l’emmener au paradis. Pour vous, l’histoire est terminée. Vous vous esquivez discrètement. Je n’oublie pas que j’ai une dette envers vous et nous verrons comment vous la régler. Retrouvez-moi ce soir au bar de l’hôtel à 19 h. Et soyez présentable. ! Elle le congédia d’un signe de la main comme elle aurait congédié un valet, nullement gênée par sa nudité. ************** À 18 h 55, Jean Philippe entra dans le bar du célèbre hôtel cannois. Présentable, il l’était enfin selon ses moyens et ses idées. Sur un 501 propre, il avait passé un polo acheté à la hâte dans une boutique du coin. Il avait hésité à venir. Si la donzelle avait prévenu les flics, c’en était fini de ...