Le déménagement
Datte: 31/08/2017,
Catégories:
fhh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
fist,
nopéné,
... poitrine. Souvent en minijupe, mais toujours sexy. Je n’ai jamais su si elle le faisait exprès mais elle avait le don pour chauffer son monde, que ce soit homme ou femme d’ailleurs. Dans les ateliers où elle devait se rendre régulièrement, les gars la regardaient. Mais attention, faut pas faire de remarques à la belle, sinon elle s’offusque et devient très menaçante : donc regarde et tais-toi. Revenons à notre déménagement qui pour l’instant est à l’arrêt. — Allez Hugo debout, faut terminer, y a plus grand-chose à trimballer. Je le tire par les bras et c’est reparti. On recommence par les cartons au deuxième, on les avait laissés et c’est le moment d’en profiter. Hugo me raconte que Marie est interdite chez lui, suite à une soirée un peu arrosée. Marie l’avait un peu « branché » ce qui avait passablement déplu à sa femme. Mais cela ne l’empêche pas de la voir en dehors ou pendant les heures de travail. Comme dernièrement où il avait été prendre un pot en fin de journée avec quelques collègues et où Marie les avait rejoints, participant aux commentaires plus ou moins graveleux des mecs sur la nouvelle assistante, ou sur untel ou unetelle. Au passage Hugo a ramassé deux verres et la bouteille du grand-père et est remonté avec. Avant de repartir on trinque ensemble à la santé de la nouvelle maison. C’est à ce moment que Marie nous rejoint. — Merci de m’en proposer un, les gars ! Hugo boit d’un trait, remplit son verre et le propose à Marie, qui en fait d’autant. — Santé, nous ...
... dit-elle en tendant le verre. On reprend nos cartons et c’est reparti. On remonte, mais à vide cette fois. On a perdu notre Marie en chemin. Un nouvel aller-et-retour. Marie nous attend avec trois verres remplis. — À la santé de Delphine et Yves, nous dit-elle. Tiens, elle s’est changée, elle a retiré son jean et a mis un vieux corsaire et surtout ne porte plus qu’un petit top noir. — À ta santé, lui souhaite alors Hugo. Marie vient de prendre un carton et nous laisse un aperçu de son décolleté. On peut ainsi vérifier qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Ouhahou, quel spectacle ! Hugo est passé derrière et l’a prise par la taille : — Pousse-toi, on peut plus passer. Quand Marie se dégage, Hugo en profite pour corriger sa prise et saisit – malencontreusement - un de ses seins. — Oh pardon, s’excuse-t-il dans un grand sourire. Elle rigole et part avec son chargement. — Quelle paire de miches, se félicite Hugo, t’as vu un peu, elle est pas farouche aujourd’hui… C’est le dernier voyage pour cet étage, on va attaquer le salon avec Hugo. Bon, encore ces canapés à trimbaler. Y’a pas, si personne ne les a pris c’est sûr qu’on nous les a gardés. C’est reparti pour quelques tours et moi c’est décidé j’arrête, je suis cassé. À ce moment Marie nous rejoint. — Ils sont pas drôles les autres, alors je reviens avec vous. Au fait les gars, j’ai moi aussi mon canapé et un gros meuble à bouger dans mon appart, j’ai un nouveau canap qui arrive ce soir. Dites, vous voulez bien venir le déplacer ...