1. Black Angel, justicière et soumise (9)


    Datte: 25/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    — Maintenant que tu nous as bien faites jouir, il faut que je te parle de mes plans de samedi soir. Deb n’est pas au courant, et je voulais que tu aies la surprise en même temps qu’elle. — Je suis toute ouïe, Maîtresse Alexa. — Je sais que tu aimes les mâles, ma petite salope. Et c’est pourquoi tu vas en avoir un très particulier, ce soir-là ! — Qui est-ce, Maîtresse Alexa ? — Spirit ! lâcha-t-t elle simplement. — Hein ? fis-je en écarquillant les yeux. Samedi j’allais avoir ma première expérience zoophile avec un chien, et qui plus est, c’était celui de Deborah. Tout à coup, j’étais morte de trouille, car c’était un puissant berger allemand. — Quoi ? s’offusqua Deb. Non mais, attends, ça va pas ? J’espère que tu plaisantes, là ! — Absolument pas, pourquoi ? C’est tout à fait le genre de mâle qu’il faut pour une chienne comme... — Hors de Question ! Ça suffit, Alexa ! C’est répugnant ! Jamais, tu m’entends ? JAMAIS je ne te laisserai faire ce genre de saloperie avec mon chien ou un autre animal ! hurla-t-elle. Arrête immédiatement tes conneries ! — De toute manière, ce n’est pas toi qui décides, sa Maîtresse, c’est moi ! — Je ferais tout pour vous satisfaire, Maîtresse Alexa ; mais cela dit, baiser avec un chien, je ne sais pas si j’en serai capable. — Mais depuis quand tu te permets de l’ouvrir, gourdasse ? gronda-t-elle, les dents serrées, en me filant une gifle. Tu la fermes et tu feras ce que je te dis, point ! déclara-t-elle en m’en flanquant une autre pour ponctuer sa ...
    ... phrase. — B... Bien, Maîtresse Alexa. — À la bonne heure ! Allez, viens, Deb ; on se tire. — Oui, on doit causer ! déclara Deb. Elles s’en allèrent, mais malgré tout, la colère de Deb était palpable. Il est vrai qu’elle a toujours milité pour la défense des animaux, elle ne s’en est jamais cachée. Le soir, j’étais dans ma chambre à repenser à toutes les expériences vécues avec Alexa. Je me rendis compte que je prenais bien plus de plaisir que je ne l’aurais imaginé ; et samedi soir, j’allais me faire saillir par un chien. Il faut dire aussi que, malgré mon 290 de QI, je ne trouvais pas de solution pour me sortir de ce traquenard, mais en même temps, en avais-je vraiment encore envie ? C’est la tête posée dans le creux de la main, soutenue par le coude, perdue dans mes pensées en me demandant comment cette histoire allait se terminer, que je sentis le doux parfum d’un chocolat chaud m’emplir les narines. Je me redressai, surprise de voir maman souriante à côté de moi, une tasse à la main qu’elle posa sur mon bureau. Je ne l’avais même pas entendue rentrer de son boulot. — Tu as vraiment l’air soucieuse, ce soir, chérie ; que se passe-t-il ? — Oh, bonsoir, maman. T’inquiète pas, tout va bien. Merci pour le chocolat, lui dis-je en souriant. — Je me suis dit que ça te ferait plaisir : ça t’a toujours aidée lorsque tu avais des problèmes. — Non, j’ai pas d’ennuis, je t’assure. T’as pas à t’inquiéter. — Vraiment ? C’est curieux, parce que Bénédicte est venue me voir à mon boulot, ...
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